Selon une documentation interne à laquelle le média espagnol El Independiente a eu accès, le département dirigé par Fernando Grande-Marlaska souhaite envoyer un nouveau conseiller à Rabat, mais aussi deux inspecteurs en chef, l’un dans la capitale du Royaume et l’autre à Tanger.
Ces postes au Maroc constituent une extrême importance pour l’Espagne et pour les cadres sécuritaires de ce pays ibérique, vu la bilatéralité historique entre les deux pays. Etre affecté au Maroc est une récompense pour les agents qui reflète également leurs compétences à exercer leurs devoirs.
Il s’agit de postes très convoités, indique le média, notamment en raison du supplément de salaire qui les accompagne. Les conseillers ajoutent 27.131,86 euros à leur salaire annuel, tandis que les inspecteurs en chef reçoivent 10.700,64 euros.
Les syndicats critiquent souvent les nominations à ces postes car ils y voient des décisions politiques et du «copinage».
Parmi les ambassades proposées, celle du Maroc est la plus marquante, car elle implique un changement complet de tous les postes intérieurs. Le Royaume du Maroc est essentiel en matière de lutte contre le terrorisme et d’immigration.
Les manifestations des agriculteurs espagnols de ces dernières semaines ont été dirigées, entre autres, contre l’entrée dans l’Union Européenne de produits en provenance du Maroc, car ils prétendent qu’ils ne passent pas les mêmes contrôles de qualité.
L’actuel représentant du ministère de l’Intérieur à Rabat est le commissaire principal Juan Enrique Taborda, qui, selon des sources policières, devrait prendre sa retraite cet été, d’où le remplacement de l’ensemble de l’ambassade.
Notons que le ministre de l’Intérieur espagnol, Fernando GrandeMarlaska, s’est félicité, lors de sa dernière visite à Rabat, de la qualité de la coopération entre le Maroc et l’Espagne en matière migratoire, la qualifiant d’ « exemplaire ». « La coopération entre le Maroc et l’Espagne est exemplaire. Nous sommes des partenaires proches, fiables et loyaux de longue date », a affirmé le ministre espagnol dans une déclaration à la chaîne de télévision publique TVE.
Le ministre avait souligné, à cette occasion, dans une interview exclusive à la MAP, que « les fondements de la coopération entre le Maroc et l’Espagne ont été construits au fil des années sur des objectifs et des principes partagés, dans le cadre de la confiance réciproque et de la loyauté absolue, permettant aux deux parties de développer des moyens d’interaction dans un esprit d’efficacité et d’efficience ».
Ces postes au Maroc constituent une extrême importance pour l’Espagne et pour les cadres sécuritaires de ce pays ibérique, vu la bilatéralité historique entre les deux pays. Etre affecté au Maroc est une récompense pour les agents qui reflète également leurs compétences à exercer leurs devoirs.
Il s’agit de postes très convoités, indique le média, notamment en raison du supplément de salaire qui les accompagne. Les conseillers ajoutent 27.131,86 euros à leur salaire annuel, tandis que les inspecteurs en chef reçoivent 10.700,64 euros.
Les syndicats critiquent souvent les nominations à ces postes car ils y voient des décisions politiques et du «copinage».
Parmi les ambassades proposées, celle du Maroc est la plus marquante, car elle implique un changement complet de tous les postes intérieurs. Le Royaume du Maroc est essentiel en matière de lutte contre le terrorisme et d’immigration.
Les manifestations des agriculteurs espagnols de ces dernières semaines ont été dirigées, entre autres, contre l’entrée dans l’Union Européenne de produits en provenance du Maroc, car ils prétendent qu’ils ne passent pas les mêmes contrôles de qualité.
L’actuel représentant du ministère de l’Intérieur à Rabat est le commissaire principal Juan Enrique Taborda, qui, selon des sources policières, devrait prendre sa retraite cet été, d’où le remplacement de l’ensemble de l’ambassade.
Notons que le ministre de l’Intérieur espagnol, Fernando GrandeMarlaska, s’est félicité, lors de sa dernière visite à Rabat, de la qualité de la coopération entre le Maroc et l’Espagne en matière migratoire, la qualifiant d’ « exemplaire ». « La coopération entre le Maroc et l’Espagne est exemplaire. Nous sommes des partenaires proches, fiables et loyaux de longue date », a affirmé le ministre espagnol dans une déclaration à la chaîne de télévision publique TVE.
Le ministre avait souligné, à cette occasion, dans une interview exclusive à la MAP, que « les fondements de la coopération entre le Maroc et l’Espagne ont été construits au fil des années sur des objectifs et des principes partagés, dans le cadre de la confiance réciproque et de la loyauté absolue, permettant aux deux parties de développer des moyens d’interaction dans un esprit d’efficacité et d’efficience ».