
Collage: Ahmed Toufiq, ministre des Habous et des Affaires islamiques et Mohamed Benali, président du conseil régional des Oulémas de Figuig. ©
Dans un communiqué le ministère a tenu à éclairer l’opinion publique sur cette révocation, exprimant son regret face à certaines réactions jugées « excessives ou basées sur des malentendus », tandis que d'autres, selon le ministère, ont été motivées par « des intentions malveillantes. »
Le ministère rappelle, d'abord, que la révocation d’un responsable peut intervenir dans deux cas de figure : soit dans le cadre d’une fonction statutaire, sur la base d’un jugement judiciaire ou d’un conseil disciplinaire ; soit dans le cas de missions non statutaires, où la décision relève exclusivement de l’autorité de nomination.
En effet, le département de Toufiq justifie cette décision par le manquement du responsable à exercer convenablement ses fonctions. Il souligne que l’intéressé a lui-même reconnu ses absences répétées, un fait relevé dans un rapport du Conseil régional, confirmé par le Conseil supérieur des affaires islamiques, et qui a constitué la base de la décision finale.
Le communiqué précise également que le silence sur les raisons de la décision ne doit pas être perçu comme un manque de justification.
Face aux critiques, le ministère défend la rigueur de la procédure suivie par les trois institutions impliquées, estimant que seuls des esprits « soupçonneux et paranoïaques » pourraient la remettre en question. La décision, insiste-t-il, repose sur une démarche claire et une responsabilité institutionnelle assumée.
En effet, le département de Toufiq justifie cette décision par le manquement du responsable à exercer convenablement ses fonctions. Il souligne que l’intéressé a lui-même reconnu ses absences répétées, un fait relevé dans un rapport du Conseil régional, confirmé par le Conseil supérieur des affaires islamiques, et qui a constitué la base de la décision finale.
Le communiqué précise également que le silence sur les raisons de la décision ne doit pas être perçu comme un manque de justification.
Face aux critiques, le ministère défend la rigueur de la procédure suivie par les trois institutions impliquées, estimant que seuls des esprits « soupçonneux et paranoïaques » pourraient la remettre en question. La décision, insiste-t-il, repose sur une démarche claire et une responsabilité institutionnelle assumée.