Le monde du football guette l'avenir de Kylian Mbappé. Partira-t-il, ne partira-t-il pas au Real ? C’est la chanson éternelle à l’approche de chaque début de saison.
Mais il y a bien une compétition, la Ligue 1, qui pourrait subir, en plus du PSG, le départ de sa star principale.
Après le départ de Leo Messi et Sergio Ramos, le championnat de France se languit de la continuité de l'attaquant dans l'équipe parisienne, car une vente signifierait perdre le plus grand atout avec lequel avoir de la force dans les négociations pour les droits de télévision.
En septembre prochain, la LFP, la plus haute instance du football français, va renégocier, par le biais d'un appel d'offres, les droits de la Ligue 1 pour les quatre prochaines saisons qui couvrent la période de 2024 à 2028.
Sans Mbappé, dont l'avenir reste dans l'air, l’objectif d'atteindre 1 000 millions d'euros sera une utopie.
Les principaux médias télévisuels ne seraient pas prêts à payer cette somme sans la garantie que les meilleurs joueurs soient toujours en France.
Après le fiasco Mediapro, prédécesseur de la pandémie, la Ligue 1 a tenté de se remettre de différents coups durs ces dernières années.
Actuellement, la valeur des droits s'élève à 624 millions d'euros, un chiffre médiocre, très éloigné des principaux championnats européens et qui a été l'un des principaux obstacles empêchant la compétition de se développer ces dernières saisons.
Même l'accord avec le CVC, qui débourse 1 500 millions pour pouvoir exploiter 13 % de la marque Ligue 1, n'a pas allégé les comptes des clubs de l'hexagone.
Vincent Labrune, président de la LFP, reconnaissait il y a quelques semaines que l'objectif était d'atteindre 1 000 millions d'euros de droits télévisés et d'atteindre 200 (actuellement 73) pour les chaînes internationales.
Différents dirigeants du football français, dont l'ancien président de Lyon, Jean-Michel Aulas, ont reconnu mardi que la situation est préoccupante si le départ de Kylian Mbappé finit par se consommer.
Sans grandes stars dans un championnat qui se définit comme la "Ligue des talents", l'avenir du football français s'annonce périlleux.
En effet, la LFP a réduit les équipes à 18 la saison dernière dans le but d'augmenter la compétitivité et aussi de se rapprocher des quatre principaux championnats européens.
Un départ de Mbappé, qui est possible selon le comité du PSG, signifierait un gigantesque grief trois mois après la renégociation des droits télévisés.
En parallèle avec l’éventuel départ de Mbappé qui a décidé de ne pas prolongé son contrat avec le PSG, une autre vedette Neymar est en pourparlers avec d’autres équipes pour changer d’air bien sûr avec le consentement des dirigeants français.
Alors une question alarmante se pose : que vaudrait un championnat sans Messi, Neymar, M’bappé, Sergio Ramos... ?
A l’heure aussi de la reconstitution de l’effectif et de la réforme du club décidées par le président Qatari Al-Khelaifi, d’autres footballeurs importants pourraient partir pour laisser la place aux jeunes.
Quant au spectacle offert par le football français et sa popularité dans le monde, il reste toujours, en Europe, au-dessous du championnat d’Espagne, d’Angleterre et d’Allemagne sur le plan de qualité. Que faire ? Comment agir ? Comment gérer les clubs ? Que faut-il pour résoudre la crise du football français ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre, pensent les hommes forts de la compétition Vincent Labrune, Michel Aulas, Nasser Al-Khelaifi.
Mais il y a bien une compétition, la Ligue 1, qui pourrait subir, en plus du PSG, le départ de sa star principale.
Après le départ de Leo Messi et Sergio Ramos, le championnat de France se languit de la continuité de l'attaquant dans l'équipe parisienne, car une vente signifierait perdre le plus grand atout avec lequel avoir de la force dans les négociations pour les droits de télévision.
En septembre prochain, la LFP, la plus haute instance du football français, va renégocier, par le biais d'un appel d'offres, les droits de la Ligue 1 pour les quatre prochaines saisons qui couvrent la période de 2024 à 2028.
Sans Mbappé, dont l'avenir reste dans l'air, l’objectif d'atteindre 1 000 millions d'euros sera une utopie.
Les principaux médias télévisuels ne seraient pas prêts à payer cette somme sans la garantie que les meilleurs joueurs soient toujours en France.
Après le fiasco Mediapro, prédécesseur de la pandémie, la Ligue 1 a tenté de se remettre de différents coups durs ces dernières années.
Actuellement, la valeur des droits s'élève à 624 millions d'euros, un chiffre médiocre, très éloigné des principaux championnats européens et qui a été l'un des principaux obstacles empêchant la compétition de se développer ces dernières saisons.
Même l'accord avec le CVC, qui débourse 1 500 millions pour pouvoir exploiter 13 % de la marque Ligue 1, n'a pas allégé les comptes des clubs de l'hexagone.
Vincent Labrune, président de la LFP, reconnaissait il y a quelques semaines que l'objectif était d'atteindre 1 000 millions d'euros de droits télévisés et d'atteindre 200 (actuellement 73) pour les chaînes internationales.
Différents dirigeants du football français, dont l'ancien président de Lyon, Jean-Michel Aulas, ont reconnu mardi que la situation est préoccupante si le départ de Kylian Mbappé finit par se consommer.
Sans grandes stars dans un championnat qui se définit comme la "Ligue des talents", l'avenir du football français s'annonce périlleux.
En effet, la LFP a réduit les équipes à 18 la saison dernière dans le but d'augmenter la compétitivité et aussi de se rapprocher des quatre principaux championnats européens.
Un départ de Mbappé, qui est possible selon le comité du PSG, signifierait un gigantesque grief trois mois après la renégociation des droits télévisés.
En parallèle avec l’éventuel départ de Mbappé qui a décidé de ne pas prolongé son contrat avec le PSG, une autre vedette Neymar est en pourparlers avec d’autres équipes pour changer d’air bien sûr avec le consentement des dirigeants français.
Alors une question alarmante se pose : que vaudrait un championnat sans Messi, Neymar, M’bappé, Sergio Ramos... ?
A l’heure aussi de la reconstitution de l’effectif et de la réforme du club décidées par le président Qatari Al-Khelaifi, d’autres footballeurs importants pourraient partir pour laisser la place aux jeunes.
Quant au spectacle offert par le football français et sa popularité dans le monde, il reste toujours, en Europe, au-dessous du championnat d’Espagne, d’Angleterre et d’Allemagne sur le plan de qualité. Que faire ? Comment agir ? Comment gérer les clubs ? Que faut-il pour résoudre la crise du football français ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre, pensent les hommes forts de la compétition Vincent Labrune, Michel Aulas, Nasser Al-Khelaifi.
