Les échanges commerciaux ou les investissements entre le Maroc et le Brésil, sont désormais plus faciles que jamais. En effet, ce mercredi 3 juillet, la Commission des relations extérieures et de la défense nationale (CRE) au sein du sénat du Brésil, a approuvé des projets de décrets législatifs relatifs à la coopération avec le Maroc.
Le Maroc a signé un ALEA en 2019, qui est inclus dans le projet approuvé. Ladite commission parlementaire brésilienne a reçu un avis favorable de la sénatrice Margareth Buzetti et sera analysée par la plénière.
"Il est essentiel de faciliter les investissements et de promouvoir les bonnes relations entre les Brésiliens et les Marocains. Les dividendes seront significatifs pour le développement des deux nations" - a déclaré la sénatrice.
L'accord définit ce qui n'est pas un investissement et aborde diverses questions telles que l'expropriation, la compensation des pertes, la transparence, les transferts, les mesures prudentielles et fiscales, les exceptions en matière de sécurité, la responsabilité sociale des entreprises, la gouvernance, les mesures réglementaires et l'atténuation des risques.
Le texte traite également de l'assistance aux investisseurs en matière d'exigences techniques et de normes environnementales, de l'accès aux technologies et de leur transfert, ainsi que d'un mécanisme de dialogue pour l'atténuation des risques et la prévention des différends.
Le Maroc a signé un ALEA en 2019, qui est inclus dans le projet approuvé. Ladite commission parlementaire brésilienne a reçu un avis favorable de la sénatrice Margareth Buzetti et sera analysée par la plénière.
"Il est essentiel de faciliter les investissements et de promouvoir les bonnes relations entre les Brésiliens et les Marocains. Les dividendes seront significatifs pour le développement des deux nations" - a déclaré la sénatrice.
L'accord définit ce qui n'est pas un investissement et aborde diverses questions telles que l'expropriation, la compensation des pertes, la transparence, les transferts, les mesures prudentielles et fiscales, les exceptions en matière de sécurité, la responsabilité sociale des entreprises, la gouvernance, les mesures réglementaires et l'atténuation des risques.
Le texte traite également de l'assistance aux investisseurs en matière d'exigences techniques et de normes environnementales, de l'accès aux technologies et de leur transfert, ainsi que d'un mécanisme de dialogue pour l'atténuation des risques et la prévention des différends.