"Il y a un souhait très clair du ministère de s'investir personnellement dans les relations franco-marocaines", a indiqué le porte-parole adjoint du Quai d'Orsay, Christophe Lemoine.
"L'idée est d'écrire un nouveau chapitre, de reprendre un nouvel agenda politique", a-t-il ajouté en décrivant des relations anciennes qu'il s'agit de "remettre en mouvement dans une dynamique positive".
Ces dernières années ont été émaillées de tensions extrêmement fortes entre le Maroc et la France, ancienne puissance coloniale où vit une importante diaspora marocaine.
À l'origine de ces tensions , la politique de rapprochement avec l'Algérie voulue par le président français Emmanuel Macron, alors qu'Alger a rompu en 2021 ses relations diplomatiques avec Rabat.
Un vote du Parlement européen en janvier 2023 - lorsque Stéphane Séjourné présidait le groupe Renew Europe et condamnant la dégradation de la liberté de la presse au Maroc - avait par ailleurs profondément irrité Rabat.
Les Marocains avaient alors dénoncé une campagne anti-marocaine "orchestrée" par le parti du président français à Bruxelles.
La relation bilatérale est "essentielle", avait estimé la semaine dernière Stéphane Séjourné. "J'ai repris le lien avec le Maroc. Il y avait des incompréhensions qui ont amené à une difficulté", avait-il précisé.
"L'idée est d'écrire un nouveau chapitre, de reprendre un nouvel agenda politique", a-t-il ajouté en décrivant des relations anciennes qu'il s'agit de "remettre en mouvement dans une dynamique positive".
Ces dernières années ont été émaillées de tensions extrêmement fortes entre le Maroc et la France, ancienne puissance coloniale où vit une importante diaspora marocaine.
À l'origine de ces tensions , la politique de rapprochement avec l'Algérie voulue par le président français Emmanuel Macron, alors qu'Alger a rompu en 2021 ses relations diplomatiques avec Rabat.
Un vote du Parlement européen en janvier 2023 - lorsque Stéphane Séjourné présidait le groupe Renew Europe et condamnant la dégradation de la liberté de la presse au Maroc - avait par ailleurs profondément irrité Rabat.
Les Marocains avaient alors dénoncé une campagne anti-marocaine "orchestrée" par le parti du président français à Bruxelles.
La relation bilatérale est "essentielle", avait estimé la semaine dernière Stéphane Séjourné. "J'ai repris le lien avec le Maroc. Il y avait des incompréhensions qui ont amené à une difficulté", avait-il précisé.