Le dessin en noir et blanc, titré « Ramadan à Gaza », a été publié dans l'édition du 11 mars de Libération à l’occasion du début de Ramadan. Il montre un Palestinien squelettique, au milieu de ruines, poursuivant des rats pour se nourrir, interrompu dans sa quête par un homme lui rappelant qu'il ne peut pas manger « avant le coucher du soleil ».
Cette caricature a déclenché une vague de critiques contre Rey, l'accusant de stigmatiser les Arabes et de se moquer de la famine à Gaza. Certains commentaires ont même fait référence aux attentats de Paris, reprochant à la dessinatrice d'avoir commis des actes répréhensibles lors de l'attaque contre Charlie Hebdo. Ces attaques ont pris une tournure dangereuse avec des menaces de mort proférées à l'encontre de Coco, qui a été qualifiée aussi d'« islamophobe ».
Sur X, anciennement Twitter, Corinne Rey a partagé un « petit échantillon » des « conneries, menaces et messages antisémites » qu'elle a reçus, affirmant cependant « assumer parfaitement » son dessin». Coco s’est défendue ainsi en expliquant que son dessin « souligne le désespoir des Palestiniens, dénonce la famine à Gaza et moque aussi l’absurdité de la religion ».
La dessinatrice a été ainsi soutenue par « Libération » qui a publié un communiqué dans lequel il a « condamné et dénoncé avec force cette vague d’injures et d’intimidations, certaines comprenant des menaces de mort ».
Cette caricature a déclenché une vague de critiques contre Rey, l'accusant de stigmatiser les Arabes et de se moquer de la famine à Gaza. Certains commentaires ont même fait référence aux attentats de Paris, reprochant à la dessinatrice d'avoir commis des actes répréhensibles lors de l'attaque contre Charlie Hebdo. Ces attaques ont pris une tournure dangereuse avec des menaces de mort proférées à l'encontre de Coco, qui a été qualifiée aussi d'« islamophobe ».
Sur X, anciennement Twitter, Corinne Rey a partagé un « petit échantillon » des « conneries, menaces et messages antisémites » qu'elle a reçus, affirmant cependant « assumer parfaitement » son dessin». Coco s’est défendue ainsi en expliquant que son dessin « souligne le désespoir des Palestiniens, dénonce la famine à Gaza et moque aussi l’absurdité de la religion ».
La dessinatrice a été ainsi soutenue par « Libération » qui a publié un communiqué dans lequel il a « condamné et dénoncé avec force cette vague d’injures et d’intimidations, certaines comprenant des menaces de mort ».