Le coup d’envoi des travaux du Congrès de la Youth Democratic Union of Africa (YDUA) a été donné, ce lundi, en présence du Secrétaire Général du Parti, Nizar Baraka, du président de la Jeunesse de l’Istiqlal, Othmane Tarmounia, du président de la YDUA, Ismail Kiirya, ainsi que de nombreux cadres du Parti et des représentants des jeunesses de 30 partis de Centre-Droite venant de 25 pays du continent.
Placés sous le thème : «Démocratiser l’Afrique à l’ère des réseaux sociaux et de l’IA : L’agenda de la jeunesse de Centre-Droit», les travaux du Congrès porteront sur l’examen des orientations de la démocratisation selon une vision alliant conservatisme et réponse aux défis imposés par les réseaux sociaux et l’Intelligence Artificielle (IA).
Lors de son discours d’ouverture, le Secrétaire Général a appelé la jeunesse africaine – et en particulier les jeunesses de partis démocratiques africains – «à jouer un rôle pivotal à travers un engagement conscient et responsable dans le travail partisan». Et d’ajouter qu’«il faut que les partis démocratiques deviennent des espaces d’autonomisation et d’écoute des jeunes, en plus de leur implication dans la conception de solutions aux problèmes du continent, en premier lieu le chômage, le changement climatique et la justice sociale, territoriale et, surtout, numérique».
Selon M. Nizar Baraka, la numérisation pose de nombreux défis au jeu démocratique, dont il cite la manipulation de contenu vidéo par les outils de l’IA, la prolifération de fausses informations à des fins d’orientation de l’opinion publique – et ce qui s’en ensuit comme perte de confiance envers le jeu démocratique –, l’exclusion numérique et la protection des données. Contrer ces défis nécessite une stratégie alliant instruments juridiques conventionnels et maîtrise de ces outils contemporains, d’où l’impératif de l’implication d’une jeunesse politique engagée en phase avec ces développements.
L’évènement est également l’occasion pour la Jeunesse de l’Istiqlal de « nouer des liens d’amitié et de partenariat avec ces instances partisanes à travers la signature de partenariats permettant l’échange d’expériences et de formations continues », a commenté son président Othmane Tarmounia, dans une déclaration à « L’Opinion ».
Quant au président de la YDUA, Ismail Kiirya, il a salué, dans une déclaration, les avancées du Maroc – et en particulier du Parti de l’Istiqlal – dans l’autonomisation de la jeunesse sur la scène politique, tout en louant les efforts de Tarmounia dans la mise en avant de la jeunesse au sein du leadership du Parti.
Placés sous le thème : «Démocratiser l’Afrique à l’ère des réseaux sociaux et de l’IA : L’agenda de la jeunesse de Centre-Droit», les travaux du Congrès porteront sur l’examen des orientations de la démocratisation selon une vision alliant conservatisme et réponse aux défis imposés par les réseaux sociaux et l’Intelligence Artificielle (IA).
Lors de son discours d’ouverture, le Secrétaire Général a appelé la jeunesse africaine – et en particulier les jeunesses de partis démocratiques africains – «à jouer un rôle pivotal à travers un engagement conscient et responsable dans le travail partisan». Et d’ajouter qu’«il faut que les partis démocratiques deviennent des espaces d’autonomisation et d’écoute des jeunes, en plus de leur implication dans la conception de solutions aux problèmes du continent, en premier lieu le chômage, le changement climatique et la justice sociale, territoriale et, surtout, numérique».
Selon M. Nizar Baraka, la numérisation pose de nombreux défis au jeu démocratique, dont il cite la manipulation de contenu vidéo par les outils de l’IA, la prolifération de fausses informations à des fins d’orientation de l’opinion publique – et ce qui s’en ensuit comme perte de confiance envers le jeu démocratique –, l’exclusion numérique et la protection des données. Contrer ces défis nécessite une stratégie alliant instruments juridiques conventionnels et maîtrise de ces outils contemporains, d’où l’impératif de l’implication d’une jeunesse politique engagée en phase avec ces développements.
L’évènement est également l’occasion pour la Jeunesse de l’Istiqlal de « nouer des liens d’amitié et de partenariat avec ces instances partisanes à travers la signature de partenariats permettant l’échange d’expériences et de formations continues », a commenté son président Othmane Tarmounia, dans une déclaration à « L’Opinion ».
Quant au président de la YDUA, Ismail Kiirya, il a salué, dans une déclaration, les avancées du Maroc – et en particulier du Parti de l’Istiqlal – dans l’autonomisation de la jeunesse sur la scène politique, tout en louant les efforts de Tarmounia dans la mise en avant de la jeunesse au sein du leadership du Parti.