La croissance du PIB doit passer de 2,8% l'an passé à 3,1% en 2024 et 3,3% en 2025, indique l'institution financière internationale dans sa mise à jour semestrielle des Perspectives économiques mondiales publiée mardi.
Il s’agit des mêmes prévisions annoncées dans le rapport de suivi de la situation économique dans le Royaume, publié en novembre dernier, dans lequel la Banque mondiale souligne que “ces dernières années, le Maroc a démontré à plusieurs reprises sa forte capacité à répondre efficacement aux chocs”.
Dans la mise à jour des projections pour la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA), les auteurs du dernier rapport soulignent que “la croissance progressera dans certaines économies, en particulier Djibouti, le Maroc et la Tunisie”, tout en alertant notamment sur l’impact des “incertitudes” causées par le conflit au Moyen-Orient sur l’économie régionale et internationale.
Selon la Banque mondiale, ce conflit “accroît l’incertitude des prévisions. En supposant qu’il ne s’aggrave pas, la croissance dans la région MENA devrait remonter à 3,5% en 2024 et 2025”.
Néanmoins, une intensification de ce conflit, y compris ses retombées sur les économies voisines et l’afflux de réfugiés, “fait planer une sévère menace sur la croissance régionale”, ajoute la même source, qui note également que les pays de la région MENA sont exposés aux catastrophes naturelles et au changement climatique.
Au niveau mondial, l’institution financière basée à Washington anticipe une troisième année consécutive de ralentissement cette année, avec un taux de croissance projeté à 2,4 % contre 2,6 % prévu auparavant.
Il s’agit des mêmes prévisions annoncées dans le rapport de suivi de la situation économique dans le Royaume, publié en novembre dernier, dans lequel la Banque mondiale souligne que “ces dernières années, le Maroc a démontré à plusieurs reprises sa forte capacité à répondre efficacement aux chocs”.
Dans la mise à jour des projections pour la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA), les auteurs du dernier rapport soulignent que “la croissance progressera dans certaines économies, en particulier Djibouti, le Maroc et la Tunisie”, tout en alertant notamment sur l’impact des “incertitudes” causées par le conflit au Moyen-Orient sur l’économie régionale et internationale.
Selon la Banque mondiale, ce conflit “accroît l’incertitude des prévisions. En supposant qu’il ne s’aggrave pas, la croissance dans la région MENA devrait remonter à 3,5% en 2024 et 2025”.
Néanmoins, une intensification de ce conflit, y compris ses retombées sur les économies voisines et l’afflux de réfugiés, “fait planer une sévère menace sur la croissance régionale”, ajoute la même source, qui note également que les pays de la région MENA sont exposés aux catastrophes naturelles et au changement climatique.
Au niveau mondial, l’institution financière basée à Washington anticipe une troisième année consécutive de ralentissement cette année, avec un taux de croissance projeté à 2,4 % contre 2,6 % prévu auparavant.