L’Histoire, la géographie, l’ethnicité, la langue, la Culture et même le couscous nous unissent au Maghreb ! Seulement, le non-Maghreb continue d’être une réalité politique et économique qui pèse sur l’évolution de la région et sa population dans sa totalité. La raison, direz-vous ?
L’entêtement de certains dirigeants qui ne veulent pas voir un intérêt, pourtant évident, dans l’intégration de l’Afrique du Nord. Ils tiennent mordicus à focaliser sur des différends et des différences qui ne font qu’empêtrer les cinq pays dans une situation économique dont la précarité, comparée au potentiel malheureusement gâché, est plus que paradoxale. Nul besoin d’égrener les chiffres du coût de cette désunion, car en plus d’être déprimante, leur énumération ne peut que rendre compte de l’étendue de l’idiotie de ces dirigeants d’un autre âge, qui refusent de sortir de la logique d’une guerre froide depuis longtemps reléguée aux oubliettes. Combien de fois des voix se sont élevées pour décrier cet état de fait destructeur qui hypothèque l’avenir de nos enfants dont la plus récente est celle du très sensé ancien Président tunisien, Moncef Marzouki ?
Combien de tentatives citoyennes, pour dépasser ces différends et aller de l’avant, ont été sciemment dédaignées et combattues ?
Combien de temps allons-nous attendre encore pour que le rêve de l’union devienne une réalité palpable ?
Les réponses à ces questions cruciales sont connues, mais elles se perdent dans les dossiers poussiéreux de ceux qui trouvent leurs intérêts dans la pérennisation d’une tension artificielle qui n’a pas lieu d’être.
La sagesse, le simple bon sens et même la realpolitik vous diront que cette intégration tant espérée est la seule solution aux multiples maux dont souffrent les peuples de la région. Il est grand temps que les képis se rendent à l’évidence, car l’Histoire ne leur fera aucun cadeau…
L’entêtement de certains dirigeants qui ne veulent pas voir un intérêt, pourtant évident, dans l’intégration de l’Afrique du Nord. Ils tiennent mordicus à focaliser sur des différends et des différences qui ne font qu’empêtrer les cinq pays dans une situation économique dont la précarité, comparée au potentiel malheureusement gâché, est plus que paradoxale. Nul besoin d’égrener les chiffres du coût de cette désunion, car en plus d’être déprimante, leur énumération ne peut que rendre compte de l’étendue de l’idiotie de ces dirigeants d’un autre âge, qui refusent de sortir de la logique d’une guerre froide depuis longtemps reléguée aux oubliettes. Combien de fois des voix se sont élevées pour décrier cet état de fait destructeur qui hypothèque l’avenir de nos enfants dont la plus récente est celle du très sensé ancien Président tunisien, Moncef Marzouki ?
Combien de tentatives citoyennes, pour dépasser ces différends et aller de l’avant, ont été sciemment dédaignées et combattues ?
Combien de temps allons-nous attendre encore pour que le rêve de l’union devienne une réalité palpable ?
Les réponses à ces questions cruciales sont connues, mais elles se perdent dans les dossiers poussiéreux de ceux qui trouvent leurs intérêts dans la pérennisation d’une tension artificielle qui n’a pas lieu d’être.
La sagesse, le simple bon sens et même la realpolitik vous diront que cette intégration tant espérée est la seule solution aux multiples maux dont souffrent les peuples de la région. Il est grand temps que les képis se rendent à l’évidence, car l’Histoire ne leur fera aucun cadeau…