Les anciennes générations sont catégoriques. L’année 2020, que nous sommes en train de traverser dans la douleur et l’incertitude, présente de fortes similitudes avec les années 1980, communément appelées «années de plomb». A la différence notable que les atteintes aux droits de l’Homme et les exactions sécuritaires systématisées qui meublaient le quotidien des Marocains, en cette époque, ont été remplacés par la chape de plomb jetée par la pandémie du Coronavirus sur notre pays, mais aussi sur l’ensemble de la planète, confinant à tout-va et réduisant de manière significative les marges des libertés individuelles, tout en menaçant le bien-être des citoyens et leur intégrité physique.
A part cette différence, tout le reste semble nous replonger dans une étrange ambiance de remake de ces années difficiles marquées comme l’année 2020 par la sécheresse, la récession, le chômage et la crise économique avec comme corollaire la menace de troubles sociaux. Et comme pour compléter ce tableau des similitudes, le cessez-le-feu qui régnait dans nos provinces du Sud, depuis 1991, vient d’être violé par les séparatistes du Polisario qui affirment, sans preuves et avec force propagande et fake news, pilonner de façon quotidienne les positions de notre armée. Ne manque plus à ce tableau sombre que le fameux et fumeux Plan d’Ajustement Structurel (PAS) imposé au Maroc par le Fond Monétaire International (FMI) pour compléter cette impression de forte réminiscence d’une époque que l’on croyait à jamais révolue.
Sauf que le Maroc d’aujourd’hui n’est plus celui des années 1980. De grands pas ont été franchis dans la modernisation du pays et le renforcement de ses fondamentaux institutionnels, politiques, économiques et socio-culturels désormais consolidés par le ciment d’une résilience à toute épreuve, forgée à la faveur des enseignements du passé, du présent et même de l’avenir. Un avenir dont nous sommes en train d’apprendre la manière d’anticiper les éventuels coups durs...n’en déplaise aux nostalgiques des eighties.
A part cette différence, tout le reste semble nous replonger dans une étrange ambiance de remake de ces années difficiles marquées comme l’année 2020 par la sécheresse, la récession, le chômage et la crise économique avec comme corollaire la menace de troubles sociaux. Et comme pour compléter ce tableau des similitudes, le cessez-le-feu qui régnait dans nos provinces du Sud, depuis 1991, vient d’être violé par les séparatistes du Polisario qui affirment, sans preuves et avec force propagande et fake news, pilonner de façon quotidienne les positions de notre armée. Ne manque plus à ce tableau sombre que le fameux et fumeux Plan d’Ajustement Structurel (PAS) imposé au Maroc par le Fond Monétaire International (FMI) pour compléter cette impression de forte réminiscence d’une époque que l’on croyait à jamais révolue.
Sauf que le Maroc d’aujourd’hui n’est plus celui des années 1980. De grands pas ont été franchis dans la modernisation du pays et le renforcement de ses fondamentaux institutionnels, politiques, économiques et socio-culturels désormais consolidés par le ciment d’une résilience à toute épreuve, forgée à la faveur des enseignements du passé, du présent et même de l’avenir. Un avenir dont nous sommes en train d’apprendre la manière d’anticiper les éventuels coups durs...n’en déplaise aux nostalgiques des eighties.
Saâd JAFRI