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Intervenant en marge d'une réunion de la commission des infrastructures, de l'énergie, des mines et de l'environnement à la Chambre des représentants, consacrée à la présentation et à l'examen de la situation de l'ONDA et de ses perspectives d'avenir, M. Abdeljalil a souligné que l'Office, l'un des acteurs les plus importants dans le domaine du transport aérien, franchit une phase décisive de son histoire en tant qu'établissement public chargé, depuis 1991, de la gestion des aéroports et du contrôle de la navigation aérienne, et qu'il est confronté à des défis majeurs en matière de sécurité et d'environnement.
Un défi de haut vol
Tout comme la majorité des organismes internationaux chargés de la gestion des aéroports, l'ONDA a essuyé les contrecoups de la crise pandémique, caractérisée par l'arrêt du trafic aérien et la baisse drastique du nombre de voyageurs arrivant au Maroc, a-t-il fait remarquer M. Abdeljalil, soulignant que l'Office a enregistré une perte durant la crise sanitaire, de l'ordre de trois milliards de dirhams. Toutefois, a poursuivi le ministre, l'Office a fait preuve d'une grande résilience et a pris une série de mesures d'accompagnement de ses partenaires contractuels et aériens, qu'il a accompagnées pour leur faire parvenir à amortir les effets de la crise sanitaire et à reprendre leurs activités dans les meilleures conditions.
En ce qui concerne le secteur du transport aérien, il a vu une amélioration notable au cours de l'année 2022, ce qui a permis à l'ONDA de renouer avec sa dynamique économique et financière, ainsi que le trafic aérien de voyageurs qui a recensé, depuis l'ouverture des frontières aériennes en février 2022, l'arrivée de quelque 20,6 millions de passagers, a-t-il noté, ajoutant que le taux de reprise est estimé à 82% par rapport à 2019 et que les statistiques préliminaires du mouvement aérien pour l'année en cours confirment cette dynamique.
Un challenge en cache un autre
Il est ainsi question d'accueillir près de 25 millions de passagers en 2023, soit le même niveau enregistré en 2019, a-t-il enchaîné, mettant l'accent sur le fait que l'Office œuvre à développer les capacités des aéroports pour accompagner cette croissance et la stratégie touristique globale du Royaume. Dans ce sens, une grande place est accordée à la modernisation des équipements aéroportuaires, à la digitalisation et à l'amélioration de l'accueil et de la qualité des services fournis aux usagers, des projets qui nécessitent une grande mobilisation des ressources humaines et de l'investissement, a-t-il tenu à ajouter.
Pour sa part, la directrice générale de l'ONDA, Habiba Laklalech, a relevé que le schéma stratégique de l'Office "Vol 2025" comprend l'axe "Se préparer à la nouvelle normalité", à travers l'acquisition d'outils de prévision de la demande et de la typologie de la clientèle, le développement des approches de planification approuvées, le renforcement du niveau de concertation avec l'ensemble des acteurs de l'écosystème et l'amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, a-t-elle fait savoir.
Un défi de haut vol
Tout comme la majorité des organismes internationaux chargés de la gestion des aéroports, l'ONDA a essuyé les contrecoups de la crise pandémique, caractérisée par l'arrêt du trafic aérien et la baisse drastique du nombre de voyageurs arrivant au Maroc, a-t-il fait remarquer M. Abdeljalil, soulignant que l'Office a enregistré une perte durant la crise sanitaire, de l'ordre de trois milliards de dirhams. Toutefois, a poursuivi le ministre, l'Office a fait preuve d'une grande résilience et a pris une série de mesures d'accompagnement de ses partenaires contractuels et aériens, qu'il a accompagnées pour leur faire parvenir à amortir les effets de la crise sanitaire et à reprendre leurs activités dans les meilleures conditions.
En ce qui concerne le secteur du transport aérien, il a vu une amélioration notable au cours de l'année 2022, ce qui a permis à l'ONDA de renouer avec sa dynamique économique et financière, ainsi que le trafic aérien de voyageurs qui a recensé, depuis l'ouverture des frontières aériennes en février 2022, l'arrivée de quelque 20,6 millions de passagers, a-t-il noté, ajoutant que le taux de reprise est estimé à 82% par rapport à 2019 et que les statistiques préliminaires du mouvement aérien pour l'année en cours confirment cette dynamique.
Un challenge en cache un autre
Il est ainsi question d'accueillir près de 25 millions de passagers en 2023, soit le même niveau enregistré en 2019, a-t-il enchaîné, mettant l'accent sur le fait que l'Office œuvre à développer les capacités des aéroports pour accompagner cette croissance et la stratégie touristique globale du Royaume. Dans ce sens, une grande place est accordée à la modernisation des équipements aéroportuaires, à la digitalisation et à l'amélioration de l'accueil et de la qualité des services fournis aux usagers, des projets qui nécessitent une grande mobilisation des ressources humaines et de l'investissement, a-t-il tenu à ajouter.
Pour sa part, la directrice générale de l'ONDA, Habiba Laklalech, a relevé que le schéma stratégique de l'Office "Vol 2025" comprend l'axe "Se préparer à la nouvelle normalité", à travers l'acquisition d'outils de prévision de la demande et de la typologie de la clientèle, le développement des approches de planification approuvées, le renforcement du niveau de concertation avec l'ensemble des acteurs de l'écosystème et l'amélioration de la qualité des services offerts aux usagers, a-t-elle fait savoir.
