Que cherche l'Algérie en armant le Front Polisario ? Cette question mérite d'être posée avec le dernier acte attribué aux autorités algériennes. Il s'agit d'un don de matériel militaire par l'Algérie au Front Polisario.
L'Algérie a livré au Front Polisario des véhicules tout-terrain « indispensables pour la guerre dans le désert », indique La Razón, expliquant que la livraison a eu lieu après la nomination de Mohamed Wali Akeik, « un homme de confiance absolue de Brahim Ghali », en tant que nouveau chef de l’État-major de l’armée.
« Il s’agit d’une réaction du régime algérien à la mort de trois de ses citoyens, des chauffeurs routiers, qu’il attribue à une action militaire du Maroc », a écrit le journal espagnol, soulignant que « l’Algérie utilise le Polisario pour concrétiser les représailles qu’elle a annoncées dans son communiqué après la mort des chauffeurs ».
« Il est frappant de voir à quelle vitesse Alger a incriminé Rabat pour l’attaque de ses citoyens, qui voyageaient à bord de deux camions, de la Mauritanie vers leur pays et qui, pour des raisons inconnues, se trouvaient dans une zone interdite aux civils et aux militaires », précise La Razón, soulignant que des membres de la MINURSO ont confirmé que les camions se sont signalés dans la zone tampon, à l'est du système de défense marocain, où tout mouvement, de militaires ou de civils est interdit.
Comme d'habitude, Rabat n'a pas encore répondu à ce que les médias interprètent comme une ultime tentative de provocation dangereuse de la part du régime algérien qui a poussé son pays vers l'isolement politique et économique, et qui cherche désespérément des boucs émissaires.
L'Algérie a livré au Front Polisario des véhicules tout-terrain « indispensables pour la guerre dans le désert », indique La Razón, expliquant que la livraison a eu lieu après la nomination de Mohamed Wali Akeik, « un homme de confiance absolue de Brahim Ghali », en tant que nouveau chef de l’État-major de l’armée.
« Il s’agit d’une réaction du régime algérien à la mort de trois de ses citoyens, des chauffeurs routiers, qu’il attribue à une action militaire du Maroc », a écrit le journal espagnol, soulignant que « l’Algérie utilise le Polisario pour concrétiser les représailles qu’elle a annoncées dans son communiqué après la mort des chauffeurs ».
« Il est frappant de voir à quelle vitesse Alger a incriminé Rabat pour l’attaque de ses citoyens, qui voyageaient à bord de deux camions, de la Mauritanie vers leur pays et qui, pour des raisons inconnues, se trouvaient dans une zone interdite aux civils et aux militaires », précise La Razón, soulignant que des membres de la MINURSO ont confirmé que les camions se sont signalés dans la zone tampon, à l'est du système de défense marocain, où tout mouvement, de militaires ou de civils est interdit.
Comme d'habitude, Rabat n'a pas encore répondu à ce que les médias interprètent comme une ultime tentative de provocation dangereuse de la part du régime algérien qui a poussé son pays vers l'isolement politique et économique, et qui cherche désespérément des boucs émissaires.
