Un marégraphe, nouvel outil de planification pour minimiser les dommages causés par les catastrophes naturelles, en particulier les tsunamis qui provoquent sans avertissement des destructions massives des plages, a été installé au port de Jorf Lasfar.
Initié, dans le cadre du projet Coastwave, par le Laboratoire Géosciences Marines et Sciences du sol de l'Université Chouaib Doukkali (UCD) et le Centre National de Recherche Scientifique et Technique, en partenariat avec I'IOC-UNESCO, ce projet contribuera, selon les organisateurs, à la prévision et à la préparation des phénomènes naturels résultant des tsunamis, dans l’esprit de trouver les moyens appropriés pour répondre à de telles catastrophes.
L'installation au port de Jorf Lasfar d'un marégraphe, a indiqué le Pr El Khaldi Khalid, coordinateur du projet, dans une déclaration, a un double emploi. Le premier a-t-il enchaîné, concerne la mesure en continu de niveau de la mer et le transfert des données en temps réel, ce qui est très utile pour les travaux de recherche sur les changements climatiques et les variations du niveau marin, alors que le deuxième est conçu pour détecter des variations brusques des niveaux de la mer en relation avec les tsunamis.
« L'intérêt de la mise en place d'une telle structure est de prévoir les événements pour pouvoir lancer une alerte dans un temps compatible avec les capacités de réaction des services compétents », a-t-il précisé.
Ce projet, a-t-il ajouté, est le fruit d'un partenariat entre le laboratoire Géosciences marines et sciences du sol de l'UCD, le Centre National pour la Recherche Scientifique (CNRST) et Intergovernmental Oceanographic Commission (IOC)-UNESCO.
Par la même occasion, une journée a été organisée à la Faculté des Sciences d'El Jadida, consacrée, mercredi 27 septembre, à une formation au profit d'une vingtaine de techniciens, portant sur « l'utilité et les aspects techniques du marégraphe ». L'objectif est de pouvoir cartographier les profondeurs des océans, identifier les espèces, veiller à ce que la connaissance des océans fasse partie intégrante des programmes scolaires et protéger les sites océaniques dont une grande partie abrite une biodiversité essentielle, à dessein d’assurer un système d'alerte aux tsunamis.
Mohamed LOKHNATI
Initié, dans le cadre du projet Coastwave, par le Laboratoire Géosciences Marines et Sciences du sol de l'Université Chouaib Doukkali (UCD) et le Centre National de Recherche Scientifique et Technique, en partenariat avec I'IOC-UNESCO, ce projet contribuera, selon les organisateurs, à la prévision et à la préparation des phénomènes naturels résultant des tsunamis, dans l’esprit de trouver les moyens appropriés pour répondre à de telles catastrophes.
L'installation au port de Jorf Lasfar d'un marégraphe, a indiqué le Pr El Khaldi Khalid, coordinateur du projet, dans une déclaration, a un double emploi. Le premier a-t-il enchaîné, concerne la mesure en continu de niveau de la mer et le transfert des données en temps réel, ce qui est très utile pour les travaux de recherche sur les changements climatiques et les variations du niveau marin, alors que le deuxième est conçu pour détecter des variations brusques des niveaux de la mer en relation avec les tsunamis.
« L'intérêt de la mise en place d'une telle structure est de prévoir les événements pour pouvoir lancer une alerte dans un temps compatible avec les capacités de réaction des services compétents », a-t-il précisé.
Ce projet, a-t-il ajouté, est le fruit d'un partenariat entre le laboratoire Géosciences marines et sciences du sol de l'UCD, le Centre National pour la Recherche Scientifique (CNRST) et Intergovernmental Oceanographic Commission (IOC)-UNESCO.
Par la même occasion, une journée a été organisée à la Faculté des Sciences d'El Jadida, consacrée, mercredi 27 septembre, à une formation au profit d'une vingtaine de techniciens, portant sur « l'utilité et les aspects techniques du marégraphe ». L'objectif est de pouvoir cartographier les profondeurs des océans, identifier les espèces, veiller à ce que la connaissance des océans fasse partie intégrante des programmes scolaires et protéger les sites océaniques dont une grande partie abrite une biodiversité essentielle, à dessein d’assurer un système d'alerte aux tsunamis.
Mohamed LOKHNATI
