Cette formation, basée sur la "méthode de la préoccupation partagée", a pour objectif de mettre en place une politique pilote de prévention, de détection et de traitement des situations de harcèlement scolaire dans trois établissements de la région, à savoir les lycées Moulay Youssef de Rabat, Ibn Al Khatib de Salé et Mers Lkhir de Témara.
Les enseignants seront notamment formés durant 4 demi-journées au cours du mois de janvier, sur les bases théoriques et les étapes de la méthode de la préoccupation partagée, les consignes pour la rédaction des protocoles et les diverses erreurs à éviter.
Une deuxième phase est prévue en juin 2022 selon le même mécanisme, qui s'articulera autour de la consolidation des bases, des cas pratiques et la mise en place d'un système d'évaluation du taux de résolution des situations.
Egalement, une session de rappel est prévue au cours de la prochaine année scolaire, au cours de laquelle les formateurs devront effectuer des visites de suivi des équipes et établir un bilan final de cette expérience, dans la perspective de la généraliser au niveau des 12 Académies régionales du pays.
En ouverture de cette session, la formatrice certifiée de la Méthode de la préoccupation partagée, version Francophonie du centre de ressources et d'études systémiques contre les intimidations scolaires-ReSIS, Amal Hassoun, a affirmé que "le cyber harcèlement commence généralement de manière physique et concrète au sein de l’établissement scolaire avant de prendre une forme virtuelle sur Internet", notant que les réseaux sociaux constituent un semblable de "cour de récréation non surveillée".
Il s’avère nécessaire de doter les élèves (intimidateurs et intimidés) des meilleures méthodes pratiques à même de faire face à la délinquance sur Internet et de lutter contre toutes les formes de harcèlement physique et moral, a assuré l'experte.
Mme Hassoun a expliqué que la méthode de la préoccupation partagée consiste, entre autres, à s'entretenir avec les élèves harceleurs, sans user de la punition, afin qu'ils prennent conscience du problème, tout en leur exposant des solutions pour faire cesser ces comportements.
Pour sa part, la responsable du programme GENIE relevant du ministère de tutelle, Ilham Laaziz, a souligné que compte tenu de l’utilisation régulière et croissante des nouvelles technologies de l’information et de la communication, le cyberharcèlement prend de plus en plus d'ampleur, d'où la pertinence et la vitalité d'inclure cet aspect dans les efforts contre l’intimidation en milieu scolaire.
Ces sessions de formation permettront de mettre en place un dispositif d’implantation d'équipes ressources dédiées au traitement du harcèlement et du cyber harcèlement au niveau de trois établissements pilotes de l’AREF de Rabat-Salé-Kénitra, avant de le généraliser au niveau national, a-t-elle relevé.
Les enseignants seront notamment formés durant 4 demi-journées au cours du mois de janvier, sur les bases théoriques et les étapes de la méthode de la préoccupation partagée, les consignes pour la rédaction des protocoles et les diverses erreurs à éviter.
Une deuxième phase est prévue en juin 2022 selon le même mécanisme, qui s'articulera autour de la consolidation des bases, des cas pratiques et la mise en place d'un système d'évaluation du taux de résolution des situations.
Egalement, une session de rappel est prévue au cours de la prochaine année scolaire, au cours de laquelle les formateurs devront effectuer des visites de suivi des équipes et établir un bilan final de cette expérience, dans la perspective de la généraliser au niveau des 12 Académies régionales du pays.
En ouverture de cette session, la formatrice certifiée de la Méthode de la préoccupation partagée, version Francophonie du centre de ressources et d'études systémiques contre les intimidations scolaires-ReSIS, Amal Hassoun, a affirmé que "le cyber harcèlement commence généralement de manière physique et concrète au sein de l’établissement scolaire avant de prendre une forme virtuelle sur Internet", notant que les réseaux sociaux constituent un semblable de "cour de récréation non surveillée".
Il s’avère nécessaire de doter les élèves (intimidateurs et intimidés) des meilleures méthodes pratiques à même de faire face à la délinquance sur Internet et de lutter contre toutes les formes de harcèlement physique et moral, a assuré l'experte.
Mme Hassoun a expliqué que la méthode de la préoccupation partagée consiste, entre autres, à s'entretenir avec les élèves harceleurs, sans user de la punition, afin qu'ils prennent conscience du problème, tout en leur exposant des solutions pour faire cesser ces comportements.
Pour sa part, la responsable du programme GENIE relevant du ministère de tutelle, Ilham Laaziz, a souligné que compte tenu de l’utilisation régulière et croissante des nouvelles technologies de l’information et de la communication, le cyberharcèlement prend de plus en plus d'ampleur, d'où la pertinence et la vitalité d'inclure cet aspect dans les efforts contre l’intimidation en milieu scolaire.
Ces sessions de formation permettront de mettre en place un dispositif d’implantation d'équipes ressources dédiées au traitement du harcèlement et du cyber harcèlement au niveau de trois établissements pilotes de l’AREF de Rabat-Salé-Kénitra, avant de le généraliser au niveau national, a-t-elle relevé.