L'évolution constante de l'Intelligence Artificielle atteint de nouveaux sommets avec la récente annonce de la startup OpenAI, désormais un géant incontournable de la scène technologique mondiale. Après avoir repoussé les frontières du traitement du texte avec le remarquable ChatGPT, la startup dévoile son dernier prodige : Sora.
Ce nouveau projet est décrit comme un modèle d'IA capable de révolutionner la vidéo en donnant vie à des scènes réalistes et créatives à partir de simples instructions textuelles. Sur la page dédiée à Sora sur son site officiel, l'entreprise affirme que cet algorithme apprend à comprendre et à simuler le monde physique en mouvement, démontrant ainsi un engagement continu envers l'expansion des capacités de l'Intelligence Artificielle dans le domaine de la création.
Sora adopte une approche similaire à celle de ses prédécesseurs tels que DALL-E et Midjourney, des Intelligences Artificielles spécialisées dans la génération d'images. Elle repose sur un principe simple mais puissant : il suffit aux utilisateurs d'exprimer leurs désirs à travers une brève ligne de texte décrivant la scène souhaitée.
Par exemple, en tapant une phrase descriptive d’une scène imaginaire, Sora se charge de donner vie à cette vision en créant une vidéo d'une minute en réponse à ce « prompt ». Ainsi, Sora engendre un clip vidéo de 60 secondes. L’outil a fait sensation quand il a été dévoilé. Cette démarche révolutionnaire témoigne de la volonté de Sora d'offrir une interface intuitive et accessible, capable de transformer chaque idée écrite en une expérience visuelle immersive avec une facilité et une efficacité déconcertante.
« Sora est capable de générer des scènes complexes avec plusieurs personnages, des types spécifiques de mouvement », explique l'entreprise. L'entraînement de l'IA repose sur le fait que le modèle comprend non seulement la demande de l'utilisateur dans le « prompt », mais aussi la façon dont les choses existent dans le monde physique, afin que deux objets solides par exemple ne puissent pas se fondre l'un dans l'autre.
Quant à l'origine du nom de Sora, bien que cette explication ne soit pas directement disponible sur le site officiel d'OpenAI, le New York Times a pu découvrir la motivation sous-jacente de l'équipe. Il semblerait que le choix du nom "Sora" ait pour objectif de suggérer que cette Intelligence Artificielle générative est conçue pour être véritablement « sans limite ».
À l'heure actuelle, l'accès à Sora demeure strictement restreint. La plateforme a été dévoilée de manière sélective à une poignée de personnes soigneusement choisies, incluant des réalisateurs, des artistes, des designers, ainsi que des experts en Intelligence Artificielle chargés d'évaluer d'éventuels dangers ou risques.
Ce nouveau projet est décrit comme un modèle d'IA capable de révolutionner la vidéo en donnant vie à des scènes réalistes et créatives à partir de simples instructions textuelles. Sur la page dédiée à Sora sur son site officiel, l'entreprise affirme que cet algorithme apprend à comprendre et à simuler le monde physique en mouvement, démontrant ainsi un engagement continu envers l'expansion des capacités de l'Intelligence Artificielle dans le domaine de la création.
Sora adopte une approche similaire à celle de ses prédécesseurs tels que DALL-E et Midjourney, des Intelligences Artificielles spécialisées dans la génération d'images. Elle repose sur un principe simple mais puissant : il suffit aux utilisateurs d'exprimer leurs désirs à travers une brève ligne de texte décrivant la scène souhaitée.
Par exemple, en tapant une phrase descriptive d’une scène imaginaire, Sora se charge de donner vie à cette vision en créant une vidéo d'une minute en réponse à ce « prompt ». Ainsi, Sora engendre un clip vidéo de 60 secondes. L’outil a fait sensation quand il a été dévoilé. Cette démarche révolutionnaire témoigne de la volonté de Sora d'offrir une interface intuitive et accessible, capable de transformer chaque idée écrite en une expérience visuelle immersive avec une facilité et une efficacité déconcertante.
« Sora est capable de générer des scènes complexes avec plusieurs personnages, des types spécifiques de mouvement », explique l'entreprise. L'entraînement de l'IA repose sur le fait que le modèle comprend non seulement la demande de l'utilisateur dans le « prompt », mais aussi la façon dont les choses existent dans le monde physique, afin que deux objets solides par exemple ne puissent pas se fondre l'un dans l'autre.
Quant à l'origine du nom de Sora, bien que cette explication ne soit pas directement disponible sur le site officiel d'OpenAI, le New York Times a pu découvrir la motivation sous-jacente de l'équipe. Il semblerait que le choix du nom "Sora" ait pour objectif de suggérer que cette Intelligence Artificielle générative est conçue pour être véritablement « sans limite ».
À l'heure actuelle, l'accès à Sora demeure strictement restreint. La plateforme a été dévoilée de manière sélective à une poignée de personnes soigneusement choisies, incluant des réalisateurs, des artistes, des designers, ainsi que des experts en Intelligence Artificielle chargés d'évaluer d'éventuels dangers ou risques.
