Au moment où OpenIA et Google mènent une course contre la montre pour développer de nouvelles versions de l’Intelligence Artificielle, Meta cherche, elle aussi, à avoir sa part du gâteau. En effet, l’entreprise du métavers social a, d’ores et déjà, lancé les premières investigations au sujet de l’Intelligence Artificielle Générale (ou IAG), une IA qui est capable de réaliser n’importe quelle tâche cognitive d’un humain.
Ce type d’Intelligence Artificielle est pointé du doigt du fait qu’il représente une menace pour l’humanité à cause de sa faculté d’être complètement autonome, et donc de potentiellement remplacer des humains par exemple en entreprise.
Cependant, il est clair que le patron de Meta, Mark Zuckerberg, est déterminé à révolutionner le monde de la technologie sans pour autant s’inquiéter de son impact sur l’humanité. « Nous en sommes venus à la conclusion que, pour construire les produits que nous voulons construire, nous devons créer une Intelligence Artificielle Générale », explique Mark Zuckerberg à des médias américains spécialisés.
Le responsable dit, ainsi, vouloir convaincre « les meilleurs chercheurs » de se joindre à l’aventure qui s’annonce, afin qu’ils puissent faire face à des problèmes « ambitieux ».
En ce qui concerne la date de sortie de cette IA, dite générale, Mark évoque un « processus sur la durée ». Il souligne, par exemple, que du fait que son propre modèle de langage, Llama 2, n’était pas développé dans le but de générer du code, avant de finalement travailler sur Llama 3. Celui-là disposera de cette fonctionnalité face aux demandes des utilisateurs. Ainsi, Meta a accru les capacités de son IA, la rapprochant de l’objectif final, celui d’une vraie IAG.
D’ailleurs, des médias américains spécialisés laissent entendre que l’aventure des grands géants de la technologie dans le domaine de l’IA fait face à de nombreux défis. Ces entreprises dépensent plusieurs millions de dollars pour convaincre des chercheurs et ingénieurs à participer dans ce méga projet.
Il s’agit là de profils rares et très convoités par les leaders de la technologie que Meta devrait réussir à attirer. L’industrie de l’IA devrait relever un autre défi lié, cette fois-ci, aux ressources technologiques. A ce sujet, Meta s’est offert 600.000 puces graphiques de Nvidia, les H100, réputées pour leur faculté à faire travailler l’Intelligence Artificielle.
Ainsi, Mark Zuckerberg semble donc prêt à tous les sacrifices pour révolutionner le monde de l’IA. Le responsable dépense plus de 15 milliards de dollars par an pour construire l’avenir de la connexion entre les individus.
Ce type d’Intelligence Artificielle est pointé du doigt du fait qu’il représente une menace pour l’humanité à cause de sa faculté d’être complètement autonome, et donc de potentiellement remplacer des humains par exemple en entreprise.
Cependant, il est clair que le patron de Meta, Mark Zuckerberg, est déterminé à révolutionner le monde de la technologie sans pour autant s’inquiéter de son impact sur l’humanité. « Nous en sommes venus à la conclusion que, pour construire les produits que nous voulons construire, nous devons créer une Intelligence Artificielle Générale », explique Mark Zuckerberg à des médias américains spécialisés.
Le responsable dit, ainsi, vouloir convaincre « les meilleurs chercheurs » de se joindre à l’aventure qui s’annonce, afin qu’ils puissent faire face à des problèmes « ambitieux ».
En ce qui concerne la date de sortie de cette IA, dite générale, Mark évoque un « processus sur la durée ». Il souligne, par exemple, que du fait que son propre modèle de langage, Llama 2, n’était pas développé dans le but de générer du code, avant de finalement travailler sur Llama 3. Celui-là disposera de cette fonctionnalité face aux demandes des utilisateurs. Ainsi, Meta a accru les capacités de son IA, la rapprochant de l’objectif final, celui d’une vraie IAG.
D’ailleurs, des médias américains spécialisés laissent entendre que l’aventure des grands géants de la technologie dans le domaine de l’IA fait face à de nombreux défis. Ces entreprises dépensent plusieurs millions de dollars pour convaincre des chercheurs et ingénieurs à participer dans ce méga projet.
Il s’agit là de profils rares et très convoités par les leaders de la technologie que Meta devrait réussir à attirer. L’industrie de l’IA devrait relever un autre défi lié, cette fois-ci, aux ressources technologiques. A ce sujet, Meta s’est offert 600.000 puces graphiques de Nvidia, les H100, réputées pour leur faculté à faire travailler l’Intelligence Artificielle.
Ainsi, Mark Zuckerberg semble donc prêt à tous les sacrifices pour révolutionner le monde de l’IA. Le responsable dépense plus de 15 milliards de dollars par an pour construire l’avenir de la connexion entre les individus.