L'intégration économique en Afrique constitue une priorité pour le Maroc, a affirmé M. Amrani lors d’une table ronde organisée, lundi à Washington, par le Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS) sur le renouvellement de la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA).
Bien qu’il ne soit pas membre de l’AGOA, le Maroc, a-t-il rappelé, est lié aux Etats-Unis par un accord de libre-échange qui a “permis à nos deux pays de bâtir, au cours de ces deux décennies, un partenariat novateur, vertueux et avec des perspectives prometteuses”.
“Le Maroc croit fermement au pouvoir transformateur du libre-échange, en tant que catalyseur de la prospérité des nations et de la création de bénéfices socio-économiques”, a indiqué l’ambassadeur de SM le Roi, en précisant que l’accord de libre-échange (ALE) entre les États-Unis et le Maroc a joué un rôle central dans l'expansion des opportunités commerciales, la promotion du commerce et la création de milliers d'emplois dans les deux pays.
Depuis l'entrée en vigueur de l'ALE en janvier 2006, les échanges commerciaux entre les États-Unis et le Maroc ont considérablement augmenté, plaçant le Royaume au quatrième rang des partenaires commerciaux des États-Unis en Afrique. Le volume des investissements directs américains connaît la même dynamique de progression, dont témoigne la présence d’un grand nombre d’entreprises opérant dans divers secteurs novateurs.
Dans son intervention lors de cette rencontre à laquelle ont pris part des ambassadeurs et d’éminents experts, l’ambassadeur du Maroc a en outre relevé l’importance de la synergie entre la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et l'AGOA.
“Aujourd'hui, avec la mise en œuvre de la ZLECAf, notre continent offrira aux entreprises américaines un marché plus vaste de plus d'un milliard de personnes avec un PIB d'environ 2,6 billions de dollars américains”, a-t-il souligné.
Tout en rappelant l'engagement constant du Maroc dans de telles initiatives visant à promouvoir une plus grande intégration régionale, l’ambassadeur de SM le Roi a réaffirmé la disposition du Royaume, dans le cadre de la coopération Sud-Sud, à partager son expérience pour renforcer les capacités d'exportation des entreprises africaines et accroître les échanges commerciaux avec les États-Unis.
Pour illustrer cet engagement, a-t-il dit, un mécanisme a été récemment mis en œuvre avec la signature d'un protocole d'accord en octobre dernier avec la Banque africaine d'import-export (Afreximbank) destiné à développer un programme de promotion du commerce et des investissements Maroc-Afrique d'un milliard de dollars pour promouvoir le commerce intra et extra-africain à travers notamment la mise en œuvre de services d'information et de conseil commerciaux.
M. Amrani a enfin mis en avant l’Initiative de SM le Roi visant à améliorer l'accès des pays du Sahel à l’océan atlantique, soulignant que ses retombées vont permettre de favoriser le développement économique de la région et accroître sa participation au commerce international.
Avec MAP
Bien qu’il ne soit pas membre de l’AGOA, le Maroc, a-t-il rappelé, est lié aux Etats-Unis par un accord de libre-échange qui a “permis à nos deux pays de bâtir, au cours de ces deux décennies, un partenariat novateur, vertueux et avec des perspectives prometteuses”.
“Le Maroc croit fermement au pouvoir transformateur du libre-échange, en tant que catalyseur de la prospérité des nations et de la création de bénéfices socio-économiques”, a indiqué l’ambassadeur de SM le Roi, en précisant que l’accord de libre-échange (ALE) entre les États-Unis et le Maroc a joué un rôle central dans l'expansion des opportunités commerciales, la promotion du commerce et la création de milliers d'emplois dans les deux pays.
Depuis l'entrée en vigueur de l'ALE en janvier 2006, les échanges commerciaux entre les États-Unis et le Maroc ont considérablement augmenté, plaçant le Royaume au quatrième rang des partenaires commerciaux des États-Unis en Afrique. Le volume des investissements directs américains connaît la même dynamique de progression, dont témoigne la présence d’un grand nombre d’entreprises opérant dans divers secteurs novateurs.
Dans son intervention lors de cette rencontre à laquelle ont pris part des ambassadeurs et d’éminents experts, l’ambassadeur du Maroc a en outre relevé l’importance de la synergie entre la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et l'AGOA.
“Aujourd'hui, avec la mise en œuvre de la ZLECAf, notre continent offrira aux entreprises américaines un marché plus vaste de plus d'un milliard de personnes avec un PIB d'environ 2,6 billions de dollars américains”, a-t-il souligné.
Tout en rappelant l'engagement constant du Maroc dans de telles initiatives visant à promouvoir une plus grande intégration régionale, l’ambassadeur de SM le Roi a réaffirmé la disposition du Royaume, dans le cadre de la coopération Sud-Sud, à partager son expérience pour renforcer les capacités d'exportation des entreprises africaines et accroître les échanges commerciaux avec les États-Unis.
Pour illustrer cet engagement, a-t-il dit, un mécanisme a été récemment mis en œuvre avec la signature d'un protocole d'accord en octobre dernier avec la Banque africaine d'import-export (Afreximbank) destiné à développer un programme de promotion du commerce et des investissements Maroc-Afrique d'un milliard de dollars pour promouvoir le commerce intra et extra-africain à travers notamment la mise en œuvre de services d'information et de conseil commerciaux.
M. Amrani a enfin mis en avant l’Initiative de SM le Roi visant à améliorer l'accès des pays du Sahel à l’océan atlantique, soulignant que ses retombées vont permettre de favoriser le développement économique de la région et accroître sa participation au commerce international.
Avec MAP