Pour booster l’entrepreneuriat féminin au Gabon, l’Agence nationale de promotion des investissements (ANPI), en collaboration avec l’Association Golden Women, vient de publier un « Livre blanc » proposant des solutions pertinentes aux anicroches bloquant les femmes entrepreneurs. Le document se propose d’être un outil d’aide à la décision. Des sessions d’échanges sous forme d’ateliers ont eu lieu, à cet effet, au siège de l’ANPI, à Libreville.
Des dizaines de femmes entrepreneurs provenant d’une vingtaine de plates-formes féminines ont participé à l’élaboration dudit manuel. Il s’agit notamment des entrepreneurs du mouvement féministe l’Appel des Mille et Une, d’Inter-El-les, d’Afro-actives, d’AFAP-Gabon et d’AWEP. Une approche participative des femmes intégrant également les chefs d’entreprises et responsables d’administrations publiques.
Le document devrait permettre la résolution des problématiques essentielles liées à l’accompagnement de l’entrepreneuriat féminin. Il est question d’endiguer certains stéréotypes qui plombent son essor. Chaque année au Gabon, pour rappel, près de 2000 entreprises, soit 28 %, sont créées par des femmes. Un chiffre encore considéré comme insuffisant par les femmes qui veulent l’augmenter pour s’autonomiser davantage.
Plusieurs recommandations sont livrées dans ce livre. Il propose, entre autres, la mise en place d’un « Women Business Center », un centre de l’entrepreneuriat féminin dans lequel les femmes pourront avoir des programmes de formation. C’est un projet novateur qui se veut un cadre de perfectionnement à travers la valorisation du savoir, de partage d’expériences et des formations dispensées par les professionnels de la gestion, de la finance du marketing et de la communication.
Des dizaines de femmes entrepreneurs provenant d’une vingtaine de plates-formes féminines ont participé à l’élaboration dudit manuel. Il s’agit notamment des entrepreneurs du mouvement féministe l’Appel des Mille et Une, d’Inter-El-les, d’Afro-actives, d’AFAP-Gabon et d’AWEP. Une approche participative des femmes intégrant également les chefs d’entreprises et responsables d’administrations publiques.
Le document devrait permettre la résolution des problématiques essentielles liées à l’accompagnement de l’entrepreneuriat féminin. Il est question d’endiguer certains stéréotypes qui plombent son essor. Chaque année au Gabon, pour rappel, près de 2000 entreprises, soit 28 %, sont créées par des femmes. Un chiffre encore considéré comme insuffisant par les femmes qui veulent l’augmenter pour s’autonomiser davantage.
Plusieurs recommandations sont livrées dans ce livre. Il propose, entre autres, la mise en place d’un « Women Business Center », un centre de l’entrepreneuriat féminin dans lequel les femmes pourront avoir des programmes de formation. C’est un projet novateur qui se veut un cadre de perfectionnement à travers la valorisation du savoir, de partage d’expériences et des formations dispensées par les professionnels de la gestion, de la finance du marketing et de la communication.
