Face à l’évolution du trafic aérien, notamment à l’occasion de l’organisation par le Maroc de la Coupe du Monde 2030, aux côtés de l'Espagne et du Portugal, le Royaume est déterminé à investir massivement dans les chantiers de développement et de modernisation de son infrastructure aéroportuaire. Question de s’aligner sur la demande croissante et d’améliorer l’expérience des passagers que ce soit dans le cadre de vols intérieurs ou extérieurs.
C’est dans cette perspective que la Direction générale de l’aviation civile planche, actuellement, sur le lancement d’une nouvelle étude visant à élaborer un schéma directeur prospectif et cohérent pour le développement futur d’une vingtaine d’aéroports du Royaume avec un budget de 9,7 millions de dirhams.
Parmi les aéroports concernés par cette opération, on cite l’aéroport de Fès Sais et l'aérodrome de Taza, l’aéroport de Rabat, ceux d’Oujda, Nador, Laâyoune, Ifrane, Béni Mellal, Zagora entre autres. L’étude exclut Casablanca, qui fait l’objet d’un processus d’évaluation distinct.
Ladite étude est destinée à faciliter une prise de décision éclairée concernant le développement de l'infrastructure aéroportuaire, en tenant compte des moyens financiers, les améliorations nécessaires ainsi que la hiérarchie des projets en fonction de leur niveau de priorité et de leur impact anticipé.
Elle intervient pour actualiser le précédent schéma directeur aéroportuaire, formulé il y a plus d’une décennie, devenu obsolète à la lumière des perturbations causées par la pandémie de Covid-19. En d’autres termes, cette étude résulte de la prise de conscience par les acteurs concernés des fluctuations des modes de transport aérien, nécessitant une nouvelle évaluation des besoins en infrastructures aéroportuaires de notre pays.
Ainsi, un appel d’offres international a été lancé pour sélectionner le prestataire qui sera chargé de mener cette étude. Des missions importantes incombent à l’entrepreneur qui va mener cette opération. Il devra se pencher sur l’examen du potentiel de développement de chaque aéroport, en mettant l’accent sur l’optimisation de l’efficacité opérationnelle et de l’expérience des passagers.
L’étude qui s’étale sur une période de 420 jours, se déroulera en cinq phases distinctes, comprenant l’analyse et la prévision des modèles de trafic, la formulation de projets de développement adaptés aux besoins spécifiques de chaque aéroport et l’établissement d’un cadre systématique pour le suivi et la mise en œuvre des conclusions de l’étude.
C’est dans cette perspective que la Direction générale de l’aviation civile planche, actuellement, sur le lancement d’une nouvelle étude visant à élaborer un schéma directeur prospectif et cohérent pour le développement futur d’une vingtaine d’aéroports du Royaume avec un budget de 9,7 millions de dirhams.
Parmi les aéroports concernés par cette opération, on cite l’aéroport de Fès Sais et l'aérodrome de Taza, l’aéroport de Rabat, ceux d’Oujda, Nador, Laâyoune, Ifrane, Béni Mellal, Zagora entre autres. L’étude exclut Casablanca, qui fait l’objet d’un processus d’évaluation distinct.
Ladite étude est destinée à faciliter une prise de décision éclairée concernant le développement de l'infrastructure aéroportuaire, en tenant compte des moyens financiers, les améliorations nécessaires ainsi que la hiérarchie des projets en fonction de leur niveau de priorité et de leur impact anticipé.
Elle intervient pour actualiser le précédent schéma directeur aéroportuaire, formulé il y a plus d’une décennie, devenu obsolète à la lumière des perturbations causées par la pandémie de Covid-19. En d’autres termes, cette étude résulte de la prise de conscience par les acteurs concernés des fluctuations des modes de transport aérien, nécessitant une nouvelle évaluation des besoins en infrastructures aéroportuaires de notre pays.
Ainsi, un appel d’offres international a été lancé pour sélectionner le prestataire qui sera chargé de mener cette étude. Des missions importantes incombent à l’entrepreneur qui va mener cette opération. Il devra se pencher sur l’examen du potentiel de développement de chaque aéroport, en mettant l’accent sur l’optimisation de l’efficacité opérationnelle et de l’expérience des passagers.
L’étude qui s’étale sur une période de 420 jours, se déroulera en cinq phases distinctes, comprenant l’analyse et la prévision des modèles de trafic, la formulation de projets de développement adaptés aux besoins spécifiques de chaque aéroport et l’établissement d’un cadre systématique pour le suivi et la mise en œuvre des conclusions de l’étude.
