"Au T4-2023, l'accès au financement bancaire aurait été qualifié de 'normal' par 78% des entreprises et de 'difficile' par 22% d'entre elles. Cette dernière proportion se situe à 43% dans la 'chimie et parachimie', 29% dans le 'textile et cuir', 9% dans 'l'agro-alimentaire' et 8% dans la 'mécanique et métallurgie'", indique BAM.
Dans "l'électrique et l'électronique", la totalité des industriels déclare un accès au financement bancaire normal. Le coût du crédit aurait été, au T4-2023, en stagnation selon 66% des entreprises et en hausse selon 28% d'entre elles. Cette dernière part ressort à 45% dans la "chimie et parachimie" et à 31% dans le "textile et cuir" et dans la "mécanique et métallurgie".
En revanche, 19% des industriels de "l'agro-alimentaire" indiquent une baisse du coût de crédit. Dans "l'électrique et l'électronique", la totalité des industriels indique une stagnation du coût de crédit par rapport à T3-2023.
Les dépenses d'investissement auraient stagné, d'un trimestre à l’autre, selon 44% des industriels et augmenté selon 30% d'entre eux. Cette dernière proportion se situe à 70% dans "l'électrique et électronique", à 51% dans la "mécanique et métallurgie" et à 34% dans "l'agro-alimentaire".
Dans le "textile et cuir", 83% des industriels indiquent une stagnation de ces dépenses et 13% une baisse, contre respectivement 56% et 32% dans la "chimie et parachimie". Pour le prochain trimestre, 52% des industriels anticipent une stagnation des dépenses d'investissement et 37% une hausse.
L'enquête mensuelle de conjoncture industrielle de BAM, qui a reçu le visa du Comité de Coordination des Etudes Statistiques (CO.CO.E.S) n° 19-07-06-03, est une enquête d'opinion menée auprès d'un échantillon représentatif comprenant près de 400 entreprises industrielles.
Les résultats de l'enquête sont pondérés avec les chiffres d'affaires des entreprises du secteur industriel de l'exercice précédent.
L'objectif de ladite enquête est de disposer de données dans des délais courts permettant une évaluation de la conjoncture industrielle. Lancée au début du mois suivant la fin de chaque trimestre, elle recueille les appréciations des chefs d'entreprises sur l'évolution de leur activité, les conditions de production, la trésorerie et les dépenses d'investissement engagées pendant le trimestre de référence par rapport.
Dans "l'électrique et l'électronique", la totalité des industriels déclare un accès au financement bancaire normal. Le coût du crédit aurait été, au T4-2023, en stagnation selon 66% des entreprises et en hausse selon 28% d'entre elles. Cette dernière part ressort à 45% dans la "chimie et parachimie" et à 31% dans le "textile et cuir" et dans la "mécanique et métallurgie".
En revanche, 19% des industriels de "l'agro-alimentaire" indiquent une baisse du coût de crédit. Dans "l'électrique et l'électronique", la totalité des industriels indique une stagnation du coût de crédit par rapport à T3-2023.
Les dépenses d'investissement auraient stagné, d'un trimestre à l’autre, selon 44% des industriels et augmenté selon 30% d'entre eux. Cette dernière proportion se situe à 70% dans "l'électrique et électronique", à 51% dans la "mécanique et métallurgie" et à 34% dans "l'agro-alimentaire".
Dans le "textile et cuir", 83% des industriels indiquent une stagnation de ces dépenses et 13% une baisse, contre respectivement 56% et 32% dans la "chimie et parachimie". Pour le prochain trimestre, 52% des industriels anticipent une stagnation des dépenses d'investissement et 37% une hausse.
L'enquête mensuelle de conjoncture industrielle de BAM, qui a reçu le visa du Comité de Coordination des Etudes Statistiques (CO.CO.E.S) n° 19-07-06-03, est une enquête d'opinion menée auprès d'un échantillon représentatif comprenant près de 400 entreprises industrielles.
Les résultats de l'enquête sont pondérés avec les chiffres d'affaires des entreprises du secteur industriel de l'exercice précédent.
L'objectif de ladite enquête est de disposer de données dans des délais courts permettant une évaluation de la conjoncture industrielle. Lancée au début du mois suivant la fin de chaque trimestre, elle recueille les appréciations des chefs d'entreprises sur l'évolution de leur activité, les conditions de production, la trésorerie et les dépenses d'investissement engagées pendant le trimestre de référence par rapport.