Le 11 janvier 1944, un groupe de jeunes marocains décide de donner une orientation politique et intellectuelle à la résistance contre le protectorat français imposé au Maroc. Leur action, qui s’inscrit en continuité de la lutte armée entamée plusieurs années auparavant, ainsi que des revendications légitimes du Mouvement national, prend la forme d’un appel affiché, franc et assumé à l’indépendance du Maroc de toute tutelle ou joug étranger. Cet appel est consolidé dans un Manifeste écrit et signé qui sera soumis au Sultan Mohammed Ben Youssef, futur Mohammed V, père de la Nation et Roi du Maroc indépendant. La célébration annuelle de cet événement que les générations actuelles jaugent certainement sous l’unique prisme historique, quand ils n’en ignorent pas les détails et enjeux politiques considérables, a cela de salutaire qu’elle permet de rappeler que le 11 janvier n’est pas seulement un nom de boulevard, mais une date fortement symbolique qui a marqué un tournant déterminant dans le processus d’émancipation du pays.
80 ans plus tard, l’indépendance du Royaume se traduit par plusieurs initiatives et décisions sages, mettant l’intérêt du pays avant toute autre considération. En témoigne la gestion du drame d’Al-Haouz, où les autorités marocaines ont donné une leçon de souveraineté à certains pays qui se sont inscrits dans une logique de parasitage et d’ingérence sans aucun respect aux martyrs marocains. L’opération propre et millimétrée, engagée par les Forces Armées Royales marocaines (FAR) pour le nettoyage d’El Guerguerat le 13 novembre 2020 et la gestion actuelle de ce passage frontalier stratégique, sont également une illustration de la manière dont le Maroc conçoit la gestion de son territoire et ses relations étrangères.
Aujourd’hui, l’indépendance du Royaume se reflète aussi par sa grande course au développement et au leadership international, à l’image de l’Initiative Royale pour l’Atlantique qui vient libérer les énormes potentialités de la région à même d’accélérer la croissance et le développement durable et inclusif des économies africaines. Tel est le Maroc moderne, qui honore la mémoire des héros de l’indépendance, par son ambition et ses aspirations dignes de son Histoire.
80 ans plus tard, l’indépendance du Royaume se traduit par plusieurs initiatives et décisions sages, mettant l’intérêt du pays avant toute autre considération. En témoigne la gestion du drame d’Al-Haouz, où les autorités marocaines ont donné une leçon de souveraineté à certains pays qui se sont inscrits dans une logique de parasitage et d’ingérence sans aucun respect aux martyrs marocains. L’opération propre et millimétrée, engagée par les Forces Armées Royales marocaines (FAR) pour le nettoyage d’El Guerguerat le 13 novembre 2020 et la gestion actuelle de ce passage frontalier stratégique, sont également une illustration de la manière dont le Maroc conçoit la gestion de son territoire et ses relations étrangères.
Aujourd’hui, l’indépendance du Royaume se reflète aussi par sa grande course au développement et au leadership international, à l’image de l’Initiative Royale pour l’Atlantique qui vient libérer les énormes potentialités de la région à même d’accélérer la croissance et le développement durable et inclusif des économies africaines. Tel est le Maroc moderne, qui honore la mémoire des héros de l’indépendance, par son ambition et ses aspirations dignes de son Histoire.
