Vendredi matin, plus de 2000 migrants ont essayé d’entrer à Melilia depuis le Maroc, un nombre important depuis depuis la normalisation des relations intervenue mi-mars entre Madrid et Rabat, a indiqué la préfecture de la ville occupée.
Les forces de l’ordre espagnole ont repéré, les premières heures de la matinée, « vers 06H40, un groupe de migrants formé par plus de 400 personnes s’approchant de la frontière », a précisé un porte-parole de la préfecture.
« Malgré le large dispositif de sécurité des forces marocaines, qui ont activement collaboré et de façon coordonnée avec les forces de l’ordre espagnoles, un groupe n’important de personnes venant de pays d’Afrique subsaharienne, parfaitement organisé et violent, a forcé l’entrée et cassé la porte d’accès du contrôle aux frontières avant d’entrer dans Melilla », a ajouté la même source.
Madrid et Rabat ont récemment scellé leur réconciliation après que Madrid ait décidé mi-mars de soutenir publiquement le plan d'autonomie marocain pour le Sahara. Cette décision avait permis de mettre fin à une crise diplomatique déclenchée par l’accueil en Espagne du chef du Polisario, Brahim Ghali, en avril 2021 pour y être soigné du Covid-19.
Les forces de l’ordre espagnole ont repéré, les premières heures de la matinée, « vers 06H40, un groupe de migrants formé par plus de 400 personnes s’approchant de la frontière », a précisé un porte-parole de la préfecture.
« Malgré le large dispositif de sécurité des forces marocaines, qui ont activement collaboré et de façon coordonnée avec les forces de l’ordre espagnoles, un groupe n’important de personnes venant de pays d’Afrique subsaharienne, parfaitement organisé et violent, a forcé l’entrée et cassé la porte d’accès du contrôle aux frontières avant d’entrer dans Melilla », a ajouté la même source.
Madrid et Rabat ont récemment scellé leur réconciliation après que Madrid ait décidé mi-mars de soutenir publiquement le plan d'autonomie marocain pour le Sahara. Cette décision avait permis de mettre fin à une crise diplomatique déclenchée par l’accueil en Espagne du chef du Polisario, Brahim Ghali, en avril 2021 pour y être soigné du Covid-19.
