Ph. Nidal
Mardi matin, un communiqué officiel du comité IRT arrive à la rédaction sportive régionale. Il annonce que Zaki n’est plus entraineur de l’équipe pour mauvais résultats à la suite d’un accord signé à l’amiable.
Après la cinquième défaite consécutive à Rabat face à une méconnaissable formation du FUS qui a fourni son plus mauvais match (peut-être de la saison !), après 450 minutes de jeu avec 0 but pour et 0 point, un triste bilan négatif, le premier responsable de la direction technique renonce à son « fameux projet de quatre ans » qui tombe à l’eau sous la pression du grand public.
Incroyable mais vrai, au stade Moulay El Hassan à Rabat, dimanche dernier, il y avait plus de 1500 supporters tangérois et tout le monde avait l’impression que la rencontre se disputait à Tanger car les hommes de Sellami n’avaient pas de fans.
Très graves incidents sur la pelouse verdoyante où évoluaient les 22 footballeurs car il y avait envahissement du terrain pour protester contre la prestation de Zaki et de ses joueurs. Match arrêté durant une quinzaine de minutes par l’arbitre qui était surpris.
A vrai dire, la presse sportive de Tanger a maintes fois signalé que Zaki n’était pas le profil adéquat à occuper le banc de touche d’une équipe en reconstitution du fait qu’il y avait un total échec lors de sa dernière étape comme entraineur il y a quelques saisons.
Que dire de cette décision ? Qu’en penser ? Est-ce la bonne solution ? Est-ce le moment pour se séparer du staff technique ? Et que faire avec l’effectif footballeurs recruté par l’entraineur limogé qui n’a pas donné satisfaction ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre ? Une autre question se pose : qui est l’entraineur qui peut s’engager dans une aventure pour entrainer une formation qui n’a marqué aucun but au cours de cinq matches ? Faut-il attendre la réouverture du marché hivernal pour penser au renfort au moins de l’attaque car il est difficile voire impossible d’oublier les départs de Hamoudane, Ijrouten, Bamaamar et surtout du gardien de but Lemjhed.
Une erreur grave de Zaki qui n’aurait pas dû opter seulement pour les joueurs du football amateur avec très peu d’expérience dans le cadre du rajeunissement à cent pour cent de l’équipe.
On lui reproche aussi le manque de communication avec le comité, avec la presse et avec l’effectif qu’il entraine. De la personnalité; il en a mais quand cette qualité arrive à l’entêtement, elle perd ses valeurs. Avec un caractère peu ouvert, il parle trop mais écoute peu.
Maintenant, les représentants des médias tangérois ont un important rendez-vous avec Zaki. Ils attendent sa promesse de déchirer tous ses diplômes en cas de l’échec de son projet. Tout le monde se souvient de cette déclaration du premier point de presse à Tanger : « Mon projet est de quatre ans, la première saison, l’IRT occupera la dixième place ; la deuxième année elle occupera le peloton de tête, la troisième, elle visera une place africaine et la quatrième le titre.
Si ce projet échoue, je déchirerai mes diplômes d’entraineur devant vous ».
Pour trancher cette affaire et ses conséquences, le président Mohamed Ahkane et ses proches collaborateurs se réunissent cette après-midi pour le choix du nouvel entraineur à la veille d’une autre rencontre capitale mercredi soir contre le WAC.
Sur la table de travail, il y a des candidatures proposées : Mhamed Fakhir, Rachid Taoussi et Abdelhadi Sektioui. Dans les coulisses, il semble que tous les dirigeants ne veulent pas de lourdes dépenses et se penchent vers un homme de la maison. Jaâfar Rquik et Hakim Daouidi pourraient occuper provisoirement le banc de touche en attendant les bons résultats.
Malheureusement, le premier est toujours en pourparlers avec la FRMF pour l’homologation de son diplôme européens et le second a tous les atouts pour remplacer Zaki surtout avec son diplôme marocain.
Après la cinquième défaite consécutive à Rabat face à une méconnaissable formation du FUS qui a fourni son plus mauvais match (peut-être de la saison !), après 450 minutes de jeu avec 0 but pour et 0 point, un triste bilan négatif, le premier responsable de la direction technique renonce à son « fameux projet de quatre ans » qui tombe à l’eau sous la pression du grand public.
Incroyable mais vrai, au stade Moulay El Hassan à Rabat, dimanche dernier, il y avait plus de 1500 supporters tangérois et tout le monde avait l’impression que la rencontre se disputait à Tanger car les hommes de Sellami n’avaient pas de fans.
Très graves incidents sur la pelouse verdoyante où évoluaient les 22 footballeurs car il y avait envahissement du terrain pour protester contre la prestation de Zaki et de ses joueurs. Match arrêté durant une quinzaine de minutes par l’arbitre qui était surpris.
A vrai dire, la presse sportive de Tanger a maintes fois signalé que Zaki n’était pas le profil adéquat à occuper le banc de touche d’une équipe en reconstitution du fait qu’il y avait un total échec lors de sa dernière étape comme entraineur il y a quelques saisons.
Que dire de cette décision ? Qu’en penser ? Est-ce la bonne solution ? Est-ce le moment pour se séparer du staff technique ? Et que faire avec l’effectif footballeurs recruté par l’entraineur limogé qui n’a pas donné satisfaction ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre ? Une autre question se pose : qui est l’entraineur qui peut s’engager dans une aventure pour entrainer une formation qui n’a marqué aucun but au cours de cinq matches ? Faut-il attendre la réouverture du marché hivernal pour penser au renfort au moins de l’attaque car il est difficile voire impossible d’oublier les départs de Hamoudane, Ijrouten, Bamaamar et surtout du gardien de but Lemjhed.
Une erreur grave de Zaki qui n’aurait pas dû opter seulement pour les joueurs du football amateur avec très peu d’expérience dans le cadre du rajeunissement à cent pour cent de l’équipe.
On lui reproche aussi le manque de communication avec le comité, avec la presse et avec l’effectif qu’il entraine. De la personnalité; il en a mais quand cette qualité arrive à l’entêtement, elle perd ses valeurs. Avec un caractère peu ouvert, il parle trop mais écoute peu.
Maintenant, les représentants des médias tangérois ont un important rendez-vous avec Zaki. Ils attendent sa promesse de déchirer tous ses diplômes en cas de l’échec de son projet. Tout le monde se souvient de cette déclaration du premier point de presse à Tanger : « Mon projet est de quatre ans, la première saison, l’IRT occupera la dixième place ; la deuxième année elle occupera le peloton de tête, la troisième, elle visera une place africaine et la quatrième le titre.
Si ce projet échoue, je déchirerai mes diplômes d’entraineur devant vous ».
Pour trancher cette affaire et ses conséquences, le président Mohamed Ahkane et ses proches collaborateurs se réunissent cette après-midi pour le choix du nouvel entraineur à la veille d’une autre rencontre capitale mercredi soir contre le WAC.
Sur la table de travail, il y a des candidatures proposées : Mhamed Fakhir, Rachid Taoussi et Abdelhadi Sektioui. Dans les coulisses, il semble que tous les dirigeants ne veulent pas de lourdes dépenses et se penchent vers un homme de la maison. Jaâfar Rquik et Hakim Daouidi pourraient occuper provisoirement le banc de touche en attendant les bons résultats.
Malheureusement, le premier est toujours en pourparlers avec la FRMF pour l’homologation de son diplôme européens et le second a tous les atouts pour remplacer Zaki surtout avec son diplôme marocain.
