Dans une cartographie mondiale marquée par le risque hydrique, le Maroc, qui se situe à la croisée du monde méditerranéen et du Sahel, cumule les fragilités climatiques, la dépendance agricole et la rareté structurelle. Sécheresses prolongées, salinisation des nappes, précipitations erratiques… les symptômes s’aggravent et reflètent, à l’échelle nationale, les tensions les plus critiques observées au niveau mondial. Dans ce contexte climatique délicat, l’Institut Marocain d’Intelligence Stratégique (IMIS) a présenté, lundi à Rabat, une étude sur le sujet, en présence du ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, qui a lui-même pris part aux échanges et débattu en profondeur des constats et propositions formulés. Détails.
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