Hilale s’exprimait lors d’un événement de haut niveau co-organisé par la Mission permanente du Maroc auprès des Nations Unies et le Bureau onusien de la prévention du génocide, en commémoration de la 4ème Journée internationale de lutte contre le discours de haine sous le thème “Lien entre discours de haine et intelligence artificielle”.
A cet égard, l’ambassadeur a rappelé un passage du message adressé par Sa Majesté le Roi aux participants à la Conférence parlementaire sur le dialogue interconfessionnel, tenu en juin 2023, dans lequel le Souverain souligne: “le tableau morose d’un monde prenant acte de ce conflit des croyances ne doit pas occulter une réalité plus radieuse: les initiatives audacieuses qui cherchent à favoriser la communication et l’interaction entre les composantes de la communauté internationale et les adeptes des différentes confessions, contribuant à cultiver ainsi, auprès des unes et des autres, un esprit de tolérance, un climat d’entente: l’idéal du vivre-ensemble”.
M. Hilale a, par ailleurs, relevé que conformément aux Hautes orientations Royales, le Maroc a adopté une approche robuste et à plusieurs niveaux, alliant réglementation juridique, surveillance institutionnelle, alignement éthique, programmes éducatifs et déploiements techniques pour exploiter de manière responsable l’intelligence artificielle tout en préservant la vie privée, les droits de l’Homme et la confiance numérique afin de lutter contre les discours de haine.
L’ambassadeur a, en outre, mis en relief l’importance primordiale de la mise en œuvre effective de l’arsenal doctrinaire des Nations Unies destiné à promouvoir le dialogue interreligieux et interculturel et à lutter contre les discours de haine, notamment le “Plan d’action de Rabat”, le “Plan d’action de Fès”, la “Stratégie et le Plan d’action des Nations Unies contre le discours de haine” et toutes les résolutions pertinentes sur le discours de haine, qui ont été adoptées par l’ONU à l’initiative du Royaume.
La commémoration de la journée internationale contre le discours de haine, intervient tel que proclamé par la résolution 75/309, adoptée à l’unanimité par l’ONU, en juillet 2021, à l’initiative du Maroc.
Cet événement a été marqué par le message du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres qui a insisté sur la nécessité de nouer des partenariats à tous les niveaux: entre les gouvernements, la société civile, les entreprises privées et les chefs religieux et communautaires, afin d’étouffer les voix de la haine.
“Nous devons opposer aux récits toxiques des messages positifs et donner aux gens les moyens de reconnaître, de rejeter et de combattre le discours de haine”, a-t-il dit.
De son côté, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Philémon Yang a signalé dans son message d’ouverture que ‘‘tout au long de l’histoire, le discours de haine a alimenté la violence, l’exclusion, voire des atrocités”, notant que l’Assemblée générale a été à l’avant-garde de la lutte contre ce fléau, “reconnaissant le discours de haine comme un problème mondial. Un discours qui viole les valeurs universelles de tolérance et de diversité. Et qui ne peut être justifié”.
Pour sa part, le Haut représentant de l’Alliance des Civilisations des Nations Unies, Miguel Moratinos, a salué les initiatives des Etats membres, dont le Maroc, qui continue à défendre le dialogue interreligieux et la coexistence multiculturelle aux niveaux national et international.
“Ces efforts démontrent que la promotion de l’harmonie n’est pas un idéal mou. C’est un impératif stratégique pour la paix, la résilience et le développement durable”, a-t-il indiqué, rappelant que le 9ème Forum mondial de l’UNAOC, accueilli par le Maroc dans la ville historique de Fès, était un symbole puissant de la diversité culturelle et religieuse telle qu’elle devrait être.
L’événement de haut niveau a connu la participation d’un grand nombre d’ambassadeurs accrédités auprès de l’ONU. Il a été marqué par des interventions de plusieurs responsables onusiens, notamment la Secrétaire générale adjointe chargée de la communication mondiale, l’Envoyé spécial de l’ONU pour les technologies numériques et émergentes et le Sous-secrétaire général adjoint de l’ONU aux affaires des jeunes, ainsi que des représentants des entreprise numériques, des académiciens et des acteurs de la société civile.
Tous ces intervenants ont salué le rôle clé et le leadership du Royaume dans la lutte contre le discours de haine, y compris dans l’espace numérique où ces discours se multiplient à cause de l’utilisation malsaine et abusive de l’intelligence artificielle. Ils ont également souligné que cette journée internationale rappelle l’importance de former des coalitions avec toutes les parties prenantes pour reconquérir des espaces inclusifs et sûrs et des sociétés libérées de la haine.
La tenue de cet événement de haut niveau a consacré la place du Royaume, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, en tant que référence régionale et internationale dans la lutte contre le discours de haine. Elle témoigne aussi de la reconnaissance des efforts constants déployés par le Maroc pour promouvoir les valeurs de coexistence, de vivre-ensemble et de dialogue à l’échelle mondiale.
A cet égard, l’ambassadeur a rappelé un passage du message adressé par Sa Majesté le Roi aux participants à la Conférence parlementaire sur le dialogue interconfessionnel, tenu en juin 2023, dans lequel le Souverain souligne: “le tableau morose d’un monde prenant acte de ce conflit des croyances ne doit pas occulter une réalité plus radieuse: les initiatives audacieuses qui cherchent à favoriser la communication et l’interaction entre les composantes de la communauté internationale et les adeptes des différentes confessions, contribuant à cultiver ainsi, auprès des unes et des autres, un esprit de tolérance, un climat d’entente: l’idéal du vivre-ensemble”.
M. Hilale a, par ailleurs, relevé que conformément aux Hautes orientations Royales, le Maroc a adopté une approche robuste et à plusieurs niveaux, alliant réglementation juridique, surveillance institutionnelle, alignement éthique, programmes éducatifs et déploiements techniques pour exploiter de manière responsable l’intelligence artificielle tout en préservant la vie privée, les droits de l’Homme et la confiance numérique afin de lutter contre les discours de haine.
L’ambassadeur a, en outre, mis en relief l’importance primordiale de la mise en œuvre effective de l’arsenal doctrinaire des Nations Unies destiné à promouvoir le dialogue interreligieux et interculturel et à lutter contre les discours de haine, notamment le “Plan d’action de Rabat”, le “Plan d’action de Fès”, la “Stratégie et le Plan d’action des Nations Unies contre le discours de haine” et toutes les résolutions pertinentes sur le discours de haine, qui ont été adoptées par l’ONU à l’initiative du Royaume.
La commémoration de la journée internationale contre le discours de haine, intervient tel que proclamé par la résolution 75/309, adoptée à l’unanimité par l’ONU, en juillet 2021, à l’initiative du Maroc.
Cet événement a été marqué par le message du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres qui a insisté sur la nécessité de nouer des partenariats à tous les niveaux: entre les gouvernements, la société civile, les entreprises privées et les chefs religieux et communautaires, afin d’étouffer les voix de la haine.
“Nous devons opposer aux récits toxiques des messages positifs et donner aux gens les moyens de reconnaître, de rejeter et de combattre le discours de haine”, a-t-il dit.
De son côté, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Philémon Yang a signalé dans son message d’ouverture que ‘‘tout au long de l’histoire, le discours de haine a alimenté la violence, l’exclusion, voire des atrocités”, notant que l’Assemblée générale a été à l’avant-garde de la lutte contre ce fléau, “reconnaissant le discours de haine comme un problème mondial. Un discours qui viole les valeurs universelles de tolérance et de diversité. Et qui ne peut être justifié”.
Pour sa part, le Haut représentant de l’Alliance des Civilisations des Nations Unies, Miguel Moratinos, a salué les initiatives des Etats membres, dont le Maroc, qui continue à défendre le dialogue interreligieux et la coexistence multiculturelle aux niveaux national et international.
“Ces efforts démontrent que la promotion de l’harmonie n’est pas un idéal mou. C’est un impératif stratégique pour la paix, la résilience et le développement durable”, a-t-il indiqué, rappelant que le 9ème Forum mondial de l’UNAOC, accueilli par le Maroc dans la ville historique de Fès, était un symbole puissant de la diversité culturelle et religieuse telle qu’elle devrait être.
L’événement de haut niveau a connu la participation d’un grand nombre d’ambassadeurs accrédités auprès de l’ONU. Il a été marqué par des interventions de plusieurs responsables onusiens, notamment la Secrétaire générale adjointe chargée de la communication mondiale, l’Envoyé spécial de l’ONU pour les technologies numériques et émergentes et le Sous-secrétaire général adjoint de l’ONU aux affaires des jeunes, ainsi que des représentants des entreprise numériques, des académiciens et des acteurs de la société civile.
Tous ces intervenants ont salué le rôle clé et le leadership du Royaume dans la lutte contre le discours de haine, y compris dans l’espace numérique où ces discours se multiplient à cause de l’utilisation malsaine et abusive de l’intelligence artificielle. Ils ont également souligné que cette journée internationale rappelle l’importance de former des coalitions avec toutes les parties prenantes pour reconquérir des espaces inclusifs et sûrs et des sociétés libérées de la haine.
La tenue de cet événement de haut niveau a consacré la place du Royaume, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, en tant que référence régionale et internationale dans la lutte contre le discours de haine. Elle témoigne aussi de la reconnaissance des efforts constants déployés par le Maroc pour promouvoir les valeurs de coexistence, de vivre-ensemble et de dialogue à l’échelle mondiale.