À l’heure où le Maroc amorce de profondes transformations économiques et se prépare à accueillir d'importants événements mondiaux, la modernisation du commerce de proximité devient une priorité. C’est dans ce contexte qu’Omar Hejira a souligné l’urgence d’intégrer les petits commerçants, notamment "Moul l’hanout", dans le virage numérique.
Lors de son intervention au nom du ministre Ryad Mezzour au parlement, le lundi 16 juin, Hejira a insisté sur la nécessité d'équiper les petits commerçants de terminaux de paiement électronique (TPE), affirmant qu’il n’est désormais plus acceptable qu’un commerçant refuse à ses clients un mode de paiement aussi répandu. « La généralisation des moyens de paiement électroniques ne fera que faciliter les échanges et contribuer à l’augmentation des revenus de ces commerçants », a-t-il affirmé.
Face à une concurrence de plus en plus agressive, portée par l’extension continue des grandes surfaces et des superettes, le ministre a insisté sur la responsabilité de l’État dans la protection de ce tissu commercial local. « Il est de notre devoir d’accompagner le petit commerçant pour qu’il reste compétitif dans un marché en pleine mutation », a-t-il ajouté.
Cette transition vers la numérisation vise non seulement à préserver l’équilibre économique des quartiers, mais également à favoriser l’inclusion financière, à garantir une plus grande transparence des transactions quotidiennes, et à répondre aux exigences croissantes liées aux grands événements que le Maroc s’apprête à accueillir, a conclu le responsable gouvernemental à ce propos.
Lors de son intervention au nom du ministre Ryad Mezzour au parlement, le lundi 16 juin, Hejira a insisté sur la nécessité d'équiper les petits commerçants de terminaux de paiement électronique (TPE), affirmant qu’il n’est désormais plus acceptable qu’un commerçant refuse à ses clients un mode de paiement aussi répandu. « La généralisation des moyens de paiement électroniques ne fera que faciliter les échanges et contribuer à l’augmentation des revenus de ces commerçants », a-t-il affirmé.
Face à une concurrence de plus en plus agressive, portée par l’extension continue des grandes surfaces et des superettes, le ministre a insisté sur la responsabilité de l’État dans la protection de ce tissu commercial local. « Il est de notre devoir d’accompagner le petit commerçant pour qu’il reste compétitif dans un marché en pleine mutation », a-t-il ajouté.
Cette transition vers la numérisation vise non seulement à préserver l’équilibre économique des quartiers, mais également à favoriser l’inclusion financière, à garantir une plus grande transparence des transactions quotidiennes, et à répondre aux exigences croissantes liées aux grands événements que le Maroc s’apprête à accueillir, a conclu le responsable gouvernemental à ce propos.
