Selon un communiqué diffusé par la famille et les soutiens de l’artiste, Hamza Raid a été arrêté lundi 29 septembre vers 20h15 alors qu’il se trouvait devant un café du quartier Derb Sultan, à Casablanca. Des agents de police en civil l’auraient identifié en l’appelant par son nom avant de le conduire au poste.
Il s’agit de la deuxième arrestation en l’espace de 72 heures, précise le même communiqué, qui affirme que l’interpellation « ne relève en aucun cas du hasard » et qu’elle s’inscrit dans « une démarche de ciblage, opérée sans motif apparent ». Un ami de l’artiste, également interpellé, a été entendu par les forces de l’ordre.
La police judiciaire aurait notifié à la famille que Hamza Raid a été placé en garde à vue. Il doit comparaître ce mercredi 1er octobre à 11 heures devant le parquet du tribunal de première instance d’Aïn Sebaâ, à Casablanca.
À ce stade, les chefs d’accusation n’ont pas été communiqués et aucune justification légale de la mesure de privation de liberté n’a été avancée, indiquent ses proches.
Dans leur communiqué, la famille et les soutiens de l’artiste dénoncent « un acte arbitraire contraire aux principes fondamentaux de l’État de droit ». Ils appellent à sa libération immédiate et sans condition, ainsi qu’à celle de toutes les personnes arrêtées « dans des circonstances similaires ».
Il s’agit de la deuxième arrestation en l’espace de 72 heures, précise le même communiqué, qui affirme que l’interpellation « ne relève en aucun cas du hasard » et qu’elle s’inscrit dans « une démarche de ciblage, opérée sans motif apparent ». Un ami de l’artiste, également interpellé, a été entendu par les forces de l’ordre.
La police judiciaire aurait notifié à la famille que Hamza Raid a été placé en garde à vue. Il doit comparaître ce mercredi 1er octobre à 11 heures devant le parquet du tribunal de première instance d’Aïn Sebaâ, à Casablanca.
À ce stade, les chefs d’accusation n’ont pas été communiqués et aucune justification légale de la mesure de privation de liberté n’a été avancée, indiquent ses proches.
Dans leur communiqué, la famille et les soutiens de l’artiste dénoncent « un acte arbitraire contraire aux principes fondamentaux de l’État de droit ». Ils appellent à sa libération immédiate et sans condition, ainsi qu’à celle de toutes les personnes arrêtées « dans des circonstances similaires ».