Le HCP a révélé qu’avec la prolifération des NTIC et l’expansion des réseaux sociaux, la violence numérique, sous toutes ses formes, a atteint un seuil inquiétant. Avec une prévalence de 14%, près de 1,5 million de femmes sont victimes de violence électronique aux moyens de courriels électroniques, d’appels téléphoniques, de SMS, etc.
Les citadins (16%), les filles entre 15 et 19 ans (29%) et les bacheliers (30%) ainsi que les écoliers et étudiants (36%) sont plus susceptibles de subir ce type de violence. Cette forme de violence est dans 73% des cas le fait d’un homme inconnu.
Les autres cas de cyberviolence impliquent des personnes ayant un lien avec la victime, notamment le conjoint, un membre de la famille, un collègue de travail ou une personne dans le cadre d'études, ce qui représente une part égale de près de 4 % de tous les cas.
Au total, cette forme de violence contribue à hauteur de 19% à l’ensemble des formes de violence à l’égard des femmes. Cette contribution s’élève à 34% pour les filles âgées de 15 à 19 ans et à 28% pour les femmes âgées de 20 à 24 ans.
Les citadins (16%), les filles entre 15 et 19 ans (29%) et les bacheliers (30%) ainsi que les écoliers et étudiants (36%) sont plus susceptibles de subir ce type de violence. Cette forme de violence est dans 73% des cas le fait d’un homme inconnu.
Les autres cas de cyberviolence impliquent des personnes ayant un lien avec la victime, notamment le conjoint, un membre de la famille, un collègue de travail ou une personne dans le cadre d'études, ce qui représente une part égale de près de 4 % de tous les cas.
Au total, cette forme de violence contribue à hauteur de 19% à l’ensemble des formes de violence à l’égard des femmes. Cette contribution s’élève à 34% pour les filles âgées de 15 à 19 ans et à 28% pour les femmes âgées de 20 à 24 ans.
