Dans le détail, le milieu rural a perdu 194.000 emplois tandis que 58.000 postes ont été perdus à l’échelle nationale rien qu’en une année. Les secteurs en tête de la liste des pertes sont ceux de «l’agriculture, forêt et pêche » avec 237.000 emplois perdus, soit -7% (233.000 en milieu rural, 4.000 en milieu urbain) et des BTP avec 38.000 postes, soit une baisse de 3 % (34.000 en MR, 4.000 en MU), tandis que le secteur des services a créé 189.000 postes et l’industrie un total de 29.000 emplois.
Le HCP explique qu’environ 210.000 postes perdus représentent le type d’emplois non rémunéré. Il s’agit du résidu de la déperdition de 212.000 en milieu rural et la création de 2.000 postes en zone urbaine, tandis que le type d’emplois rémunéré s’est étendu à 152.000 postes, suite à la création de 134.000 emplois en zones urbaines et de 18.000 en zones rurales.
Le même document ajoute que la période en question a connu une réduction du taux d’activité, soit de 44 % au niveau national (48,1 % en zone rurale et 41,9 % en zone urbaine).
Dans le même contexte, le HCP a noté que le taux de chômage est passé de 11,8 % à 11,4 % sur tout le territoire du Royaume, soit une réduction de 0,4 %. Il s’agit précisément de 15 % en milieu urbain (une diminution de 1 % par rapport à l’an dernier) et 5,2 % en rural, un taux stable pour cette zone. La baisse a également touché le taux des diplômés, passant de 18,7 % à 17,7 %.
Au niveau de la situation régionale du marché du travail, cinq régions abritent 73,2% de l’ensemble des actifs âgés de 15 ans et plus. La région de Casablanca-Settat vient en première position avec 22,4% d’actifs, suivie de Rabat-Salé-Kénitra (13,8%), de Marrakech-Safi (13,3%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%) et de Fès-Meknès (11,7%). Quatre régions affichent des taux d’activité plus élevés que la moyenne nationale (44%); Tanger-Tétouan-Al Hoceima (49,9%), Casablanca-Settat (46,6%), Marrakech-Safi (45,2%) et Rabat-Salé-Kénitra (44,4%).
En revanche, les taux les plus bas sont enregistrés dans les régions de Béni Mellal-Khénifra (40,9%), de Draâ-Tafilalet (38,5%) et de Souss-Massa (37,7%), détaille le rapport.
Le HCP explique qu’environ 210.000 postes perdus représentent le type d’emplois non rémunéré. Il s’agit du résidu de la déperdition de 212.000 en milieu rural et la création de 2.000 postes en zone urbaine, tandis que le type d’emplois rémunéré s’est étendu à 152.000 postes, suite à la création de 134.000 emplois en zones urbaines et de 18.000 en zones rurales.
Le même document ajoute que la période en question a connu une réduction du taux d’activité, soit de 44 % au niveau national (48,1 % en zone rurale et 41,9 % en zone urbaine).
Dans le même contexte, le HCP a noté que le taux de chômage est passé de 11,8 % à 11,4 % sur tout le territoire du Royaume, soit une réduction de 0,4 %. Il s’agit précisément de 15 % en milieu urbain (une diminution de 1 % par rapport à l’an dernier) et 5,2 % en rural, un taux stable pour cette zone. La baisse a également touché le taux des diplômés, passant de 18,7 % à 17,7 %.
Au niveau de la situation régionale du marché du travail, cinq régions abritent 73,2% de l’ensemble des actifs âgés de 15 ans et plus. La région de Casablanca-Settat vient en première position avec 22,4% d’actifs, suivie de Rabat-Salé-Kénitra (13,8%), de Marrakech-Safi (13,3%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%) et de Fès-Meknès (11,7%). Quatre régions affichent des taux d’activité plus élevés que la moyenne nationale (44%); Tanger-Tétouan-Al Hoceima (49,9%), Casablanca-Settat (46,6%), Marrakech-Safi (45,2%) et Rabat-Salé-Kénitra (44,4%).
En revanche, les taux les plus bas sont enregistrés dans les régions de Béni Mellal-Khénifra (40,9%), de Draâ-Tafilalet (38,5%) et de Souss-Massa (37,7%), détaille le rapport.
