Des représentants de l'armée soudanaise sont arrivés en Arabie Saoudite pour reprendre les pourparlers sur la cessation des hostilités avec le groupe paramilitaire des Forces de soutien rapide (FSR), a-t-on appris, dimanche, auprès d'une source diplomatique soudanaise.
"La délégation de l'armée est revenue à Djeddah, samedi en fin de journée, pour reprendre les négociations avec les FSR", a déclaré à Anadolu la source, sous couvert d'anonymat.
"Le succès des négociations dépend du sérieux des FSR et de leur engagement à respecter les termes" de l'accord, a ajouté la même source.
L'armée soudanaise avait suspendu, à la fin du mois de mai, sa participation aux pourparlers sur la cessation des hostilités, conduits sous l'égide de négociateurs saoudiens et américains, et ce, pour protester contre ce qu'elle qualifiait de violation de l'accord de cessation des hostilités par les FSR.
Le groupe paramilitaire n'a pas encore commenté la participation de l'armée aux pourparlers organisés par l'Arabie saoudite.
Plusieurs accords de cessez-le-feu entre les deux belligérants, négociés par des médiateurs saoudiens et américains, n'ont pas permis de mettre un terme à la violence.
"La délégation de l'armée est revenue à Djeddah, samedi en fin de journée, pour reprendre les négociations avec les FSR", a déclaré à Anadolu la source, sous couvert d'anonymat.
"Le succès des négociations dépend du sérieux des FSR et de leur engagement à respecter les termes" de l'accord, a ajouté la même source.
L'armée soudanaise avait suspendu, à la fin du mois de mai, sa participation aux pourparlers sur la cessation des hostilités, conduits sous l'égide de négociateurs saoudiens et américains, et ce, pour protester contre ce qu'elle qualifiait de violation de l'accord de cessation des hostilités par les FSR.
Le groupe paramilitaire n'a pas encore commenté la participation de l'armée aux pourparlers organisés par l'Arabie saoudite.
Plusieurs accords de cessez-le-feu entre les deux belligérants, négociés par des médiateurs saoudiens et américains, n'ont pas permis de mettre un terme à la violence.
