Google, conscient des avancées réalisées par OpenAI, avec le lancement-surprise de GPT-4 et la nouvelle version ChatGPT, s’est mobilisé pour précipiter l’accès de Bard au grand public.
Le chatbot conversationnel de Google qui est intégré au moteur de recherche de l'entreprise, vise en premier à concurrencer le nouveau Microsoft Bing et le ChatGPT d'OpenAI.
Depuis le lancement de ce dernier, le domaine de l'intelligence artificielle (IA) a connu un grand déchaînement de commentaires et de critiques, comme on s’y attend à toute nouvelle révolution numérique.
Pour Bard, il suffit d’écrire une requête en langage naturel, pour recevoir une réponse bien rédigée, une optique très proche de celle de ChatGPT; cependant, même si Bard est à jour et a accès au Web, il s’avère plus limité que son concurrent.
Le déploiement de Bard est d’ailleurs consacré aux utilisateurs majeurs, accessible en anglais actuellement. Les utilisateurs depuis le Royaume-Uni ou les États-Unis peuvent librement en profiter, pour les autres, ils auront besoin d’utiliser un VPN.
De ce fait, on déduit que ce lancement public de Bard n'est pas entièrement accessible à tous, chose qui montre la prudence de Google qui souhaite attendre encore avant de faire ce pas. Google affiche toutefois son objectif d’ajouter plus de pays et de langues à l'avenir.
Pour rappel, la valeur en bourse de Google avait perdu 9 % après ce lancement précipité, influencé par l’annonce de Microsoft qui était sur le point d'acter l'intégration de ChatGPT d'OpenAI dans son moteur de recherche Bing. Une erreur qui a coûté cher à la firme.
Ainsi, le développement de l'IA générative dans le monde aura sans doute un impact non négligeable sur la vie des gens dans l’avenir, c’est bien ce qu’on appelle une révolution du numérique.
Le chatbot conversationnel de Google qui est intégré au moteur de recherche de l'entreprise, vise en premier à concurrencer le nouveau Microsoft Bing et le ChatGPT d'OpenAI.
Depuis le lancement de ce dernier, le domaine de l'intelligence artificielle (IA) a connu un grand déchaînement de commentaires et de critiques, comme on s’y attend à toute nouvelle révolution numérique.
Pour Bard, il suffit d’écrire une requête en langage naturel, pour recevoir une réponse bien rédigée, une optique très proche de celle de ChatGPT; cependant, même si Bard est à jour et a accès au Web, il s’avère plus limité que son concurrent.
Le déploiement de Bard est d’ailleurs consacré aux utilisateurs majeurs, accessible en anglais actuellement. Les utilisateurs depuis le Royaume-Uni ou les États-Unis peuvent librement en profiter, pour les autres, ils auront besoin d’utiliser un VPN.
De ce fait, on déduit que ce lancement public de Bard n'est pas entièrement accessible à tous, chose qui montre la prudence de Google qui souhaite attendre encore avant de faire ce pas. Google affiche toutefois son objectif d’ajouter plus de pays et de langues à l'avenir.
Pour rappel, la valeur en bourse de Google avait perdu 9 % après ce lancement précipité, influencé par l’annonce de Microsoft qui était sur le point d'acter l'intégration de ChatGPT d'OpenAI dans son moteur de recherche Bing. Une erreur qui a coûté cher à la firme.
Ainsi, le développement de l'IA générative dans le monde aura sans doute un impact non négligeable sur la vie des gens dans l’avenir, c’est bien ce qu’on appelle une révolution du numérique.
