"Le Maroc avance vite et l’écosystème financier doit accompagner ce rythme, au même niveau d’ambition. La gestion collective peut désormais accélérer la croissance, l’élargir et la rendre plus inclusive", a relevé Mme Fettah dans une allocution, lue en son nom par le Directeur du Trésor et des Finances Extérieures (DTFE), Mohammed Tarik Bchir, lors de l'ouverture de la 25ème édition de la Conférence de l’Association des Sociétés de Gestion et Fonds d'Investissement Marocains (ASFIM) sous le thème "Cap 2030 : Mobiliser l’épargne nationale pour financer les grands projets de demain".
Selon elle, en ouvrant l’accès au capital et aux produits diversifiés, la gestion collective contribue directement à réduire les inégalités économiques et à accélérer la construction d’un Maroc plus équitable, plus dynamique, et capable d’avancer vite.
"Il s'agit de transformer le potentiel de notre épargne en un moteur puissant de croissance et de concrétisation de nos ambitions nationales qui définiront le Maroc de 2030 et 2040", a indiqué Mme Fettah, soulignant que cet objectif s’inscrit pleinement dans la vision éclairée de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, Qui appelle constamment à mobiliser toutes les forces vives du pays pour bâtir un modèle de développement plus soutenu, inclusif et durable.
Et de soutenir : Le Maroc entre dans un cycle d’investissement de grande ampleur qui nécessite des acteurs financiers capables d’accompagner l’économie réelle avec des produits plus diversifiés, des stratégies plus élaborées et une vision plus long terme.
"Avec plus de 790 milliards de dirhams (MMDH) d’encours, la gestion collective est devenue une pièce maîtresse du marché financier marocain et un acteur systémique qui transforme l’épargne en projets et les projets en croissance", a-t-elle dit .
Dans ce sens, elle a qualifié l’adoption de la loi 03-25 qui vient réformer le cadre régissant les Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) de tournant majeur qui redéfinit toute l’architecture du secteur en profondeur et d’un cadre de nouvelle génération, conçu pour un marché en expansion et pour des investisseurs dont les besoins évoluent rapidement.
Cette réforme élargit significativement la palette de produits, renforce la gestion du risqué, aligne le Maroc sur les standards internationaux les plus exigeants, améliore la transparence et la protection de l’épargnant et ouvre la voie à plus d’innovation, plus de diversification et plus de flexibilité, a-t-elle expliqué.
Intervenant par la même occasion, le Directeur Général de la Caisse de dépôt et de Gestion (CDG), Khalid Safir, a relevé que le Maroc avance sur la voie de son nouveau modèle de croissance fondé sur l'investissement, la cohésion sociale et la durabilité, une dynamique renforcée par l'actualité politique et la perspective de l'organisation de la Coupe du monde 2030.
"Le financement de cette ambition nationale repose sur une mobilisation accrue de l'épargne", a-t-il estimé, soutenant que l'épargne est avant tout une ressource de souveraineté, essentielle pour réduire la dépendance aux capitaux extérieurs.
Il a rappelé le rôle de la CDG de "collecter, sécuriser et transformer l'épargne réglementée stable et de long terme en investissement durable et rentable", agissant en "catalyseur, un investisseur patient au service de la transformation de l'économie".
M. Safir a également soulevé le défi de la diversification, notant que "près de 80% des fonds collectés restent encore investis en Bons du Trésor".
Ainsi, il a appelé à renforcer le rôle des marchés de capitaux en complément du crédit bancaire, plaidant pour le développement de nouveaux instruments financiers (titrisation, fonds de dette et Project Bonds) afin d'attirer davantage de projets de qualité et de soutenir l'investissement en fonds propres pour une croissance durable.
Cette édition de la conférence de l'ASFIM a exploré les leviers financiers et stratégiques permettant d’orienter efficacement l’épargne nationale vers le financement des projets structurants du Maroc de demain.
En rassemblant différents acteurs publics et privés, institutions financières et experts du marché, l’ASFIM a offert une plateforme unique d’échanges et de réflexion autour des perspectives du secteur de la gestion d’actifs.
Selon elle, en ouvrant l’accès au capital et aux produits diversifiés, la gestion collective contribue directement à réduire les inégalités économiques et à accélérer la construction d’un Maroc plus équitable, plus dynamique, et capable d’avancer vite.
"Il s'agit de transformer le potentiel de notre épargne en un moteur puissant de croissance et de concrétisation de nos ambitions nationales qui définiront le Maroc de 2030 et 2040", a indiqué Mme Fettah, soulignant que cet objectif s’inscrit pleinement dans la vision éclairée de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, Qui appelle constamment à mobiliser toutes les forces vives du pays pour bâtir un modèle de développement plus soutenu, inclusif et durable.
Et de soutenir : Le Maroc entre dans un cycle d’investissement de grande ampleur qui nécessite des acteurs financiers capables d’accompagner l’économie réelle avec des produits plus diversifiés, des stratégies plus élaborées et une vision plus long terme.
"Avec plus de 790 milliards de dirhams (MMDH) d’encours, la gestion collective est devenue une pièce maîtresse du marché financier marocain et un acteur systémique qui transforme l’épargne en projets et les projets en croissance", a-t-elle dit .
Dans ce sens, elle a qualifié l’adoption de la loi 03-25 qui vient réformer le cadre régissant les Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) de tournant majeur qui redéfinit toute l’architecture du secteur en profondeur et d’un cadre de nouvelle génération, conçu pour un marché en expansion et pour des investisseurs dont les besoins évoluent rapidement.
Cette réforme élargit significativement la palette de produits, renforce la gestion du risqué, aligne le Maroc sur les standards internationaux les plus exigeants, améliore la transparence et la protection de l’épargnant et ouvre la voie à plus d’innovation, plus de diversification et plus de flexibilité, a-t-elle expliqué.
Intervenant par la même occasion, le Directeur Général de la Caisse de dépôt et de Gestion (CDG), Khalid Safir, a relevé que le Maroc avance sur la voie de son nouveau modèle de croissance fondé sur l'investissement, la cohésion sociale et la durabilité, une dynamique renforcée par l'actualité politique et la perspective de l'organisation de la Coupe du monde 2030.
"Le financement de cette ambition nationale repose sur une mobilisation accrue de l'épargne", a-t-il estimé, soutenant que l'épargne est avant tout une ressource de souveraineté, essentielle pour réduire la dépendance aux capitaux extérieurs.
Il a rappelé le rôle de la CDG de "collecter, sécuriser et transformer l'épargne réglementée stable et de long terme en investissement durable et rentable", agissant en "catalyseur, un investisseur patient au service de la transformation de l'économie".
M. Safir a également soulevé le défi de la diversification, notant que "près de 80% des fonds collectés restent encore investis en Bons du Trésor".
Ainsi, il a appelé à renforcer le rôle des marchés de capitaux en complément du crédit bancaire, plaidant pour le développement de nouveaux instruments financiers (titrisation, fonds de dette et Project Bonds) afin d'attirer davantage de projets de qualité et de soutenir l'investissement en fonds propres pour une croissance durable.
Cette édition de la conférence de l'ASFIM a exploré les leviers financiers et stratégiques permettant d’orienter efficacement l’épargne nationale vers le financement des projets structurants du Maroc de demain.
En rassemblant différents acteurs publics et privés, institutions financières et experts du marché, l’ASFIM a offert une plateforme unique d’échanges et de réflexion autour des perspectives du secteur de la gestion d’actifs.





















