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Le tribunal l’a déclaré coupable de « rassemblement non autorisé » et d’« incitation à commettre des crimes et délits par voie électronique », des faits liés aux mobilisations de la Gen Z212 qui se sont déroulées dans plusieurs villes du Royaume.
Fin septembre, Hamza Raid avait été arrêté une première fois le 27 septembre lors de ces manifestations, avant d’être relâché. Il a été interpellé à nouveau le 29 septembre devant un café du quartier de Derb Sultan. Les chefs d’accusation de cette seconde arrestation n’avaient pas été rendus publics. Cette interpellation a donné lieu à une campagne de soutien en ligne, avec le hashtag #FreeRaid diffusé sur X, Instagram et TikTok.
Le 1er octobre, le parquet de Casablanca a annoncé qu’il poursuivait l’artiste sans placement en détention, après sa garde à vue les 29 et 30 septembre dans le cadre de l’enquête préliminaire.
Quelques heures après le verdict, Hamza Raid a indiqué, via une story sur Instagram, que son équipe de défense avait décidé de faire appel.
Fin septembre, Hamza Raid avait été arrêté une première fois le 27 septembre lors de ces manifestations, avant d’être relâché. Il a été interpellé à nouveau le 29 septembre devant un café du quartier de Derb Sultan. Les chefs d’accusation de cette seconde arrestation n’avaient pas été rendus publics. Cette interpellation a donné lieu à une campagne de soutien en ligne, avec le hashtag #FreeRaid diffusé sur X, Instagram et TikTok.
Le 1er octobre, le parquet de Casablanca a annoncé qu’il poursuivait l’artiste sans placement en détention, après sa garde à vue les 29 et 30 septembre dans le cadre de l’enquête préliminaire.
Quelques heures après le verdict, Hamza Raid a indiqué, via une story sur Instagram, que son équipe de défense avait décidé de faire appel.
