Selon la presse nigériane, le vice-président nigérian, Kashim Shettima, s’est entretenu lundi dernier avec des représentants du géant de l’énergie Vitol Group dans le palais présidentiel à Abuja.
Lors de cette rencontre, il a affirmé l’engagement du président, Bola Ahmed Tinubu, dans la poursuite de réformes économiques aptes à rendre le Nigéria une destination de choix pour les investisseurs dans le secteur d’énergie.
Décrivant le secteur gazier du Nigéria comme « un phare de stabilité et de transparence parmi l’insécurité globale », il appela le groupe à mettre à la disposition du Nigéria son expertise dans le gaz naturel liquéfié et le gaz associé au pétrole. « Le monde change, et notre économie est une économie de gaz et non de pétrole. Nous avons la huitième plus grande réserve de gaz au monde. Nous voulons vraiment exploiter le potentiel dans le secteur gazier surtout grâce à la stabilité et à la transparence de ce domaine », a souligné Shettima.
Ainsi, le vice-président a exhorté le groupe à mobiliser son expertise technique dans la réalisation du projet de gazoduc qui, selon la même source, nécessiterait environ 25 milliards de dollars pour sa conception.
Le directeur financier de Vitol et chef de la délégation, Jeffrey Dellapina, a réaffirmé l’engagement de longue durée de son groupe au Nigeria : « Ce pays est depuis longtemps très proche et important pour Vitol. Nous avons participé au financement, au négoce et au soutien aux gouvernement à chaque fois que cela était nécessaire. Nous voulons maintenir notre engagement, et nous sommes toujours prêts à déployer du capital à tout instant ».
Côté marocain, nous rappelons que les études de faisabilité et les premières analyses d’ingénierie ont été finalisées, et le tracé optimal du pipeline a été déterminé, comme annoncé par la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, le 13 mars dernier. Les États partenaires ont également validé l’accord intergouvernemental encadrant le gazoduc.
De plus, les Etats-Unis ont exprimé en fin avril dernier leur intérêt pour le projet de gazoduc qui pourrait attirer des investissements américains, selon le ministre nigérian des Finances et de la Coordination de l’Economie, Wale Edun.
Lors de cette rencontre, il a affirmé l’engagement du président, Bola Ahmed Tinubu, dans la poursuite de réformes économiques aptes à rendre le Nigéria une destination de choix pour les investisseurs dans le secteur d’énergie.
Décrivant le secteur gazier du Nigéria comme « un phare de stabilité et de transparence parmi l’insécurité globale », il appela le groupe à mettre à la disposition du Nigéria son expertise dans le gaz naturel liquéfié et le gaz associé au pétrole. « Le monde change, et notre économie est une économie de gaz et non de pétrole. Nous avons la huitième plus grande réserve de gaz au monde. Nous voulons vraiment exploiter le potentiel dans le secteur gazier surtout grâce à la stabilité et à la transparence de ce domaine », a souligné Shettima.
Ainsi, le vice-président a exhorté le groupe à mobiliser son expertise technique dans la réalisation du projet de gazoduc qui, selon la même source, nécessiterait environ 25 milliards de dollars pour sa conception.
Le directeur financier de Vitol et chef de la délégation, Jeffrey Dellapina, a réaffirmé l’engagement de longue durée de son groupe au Nigeria : « Ce pays est depuis longtemps très proche et important pour Vitol. Nous avons participé au financement, au négoce et au soutien aux gouvernement à chaque fois que cela était nécessaire. Nous voulons maintenir notre engagement, et nous sommes toujours prêts à déployer du capital à tout instant ».
Côté marocain, nous rappelons que les études de faisabilité et les premières analyses d’ingénierie ont été finalisées, et le tracé optimal du pipeline a été déterminé, comme annoncé par la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, le 13 mars dernier. Les États partenaires ont également validé l’accord intergouvernemental encadrant le gazoduc.
De plus, les Etats-Unis ont exprimé en fin avril dernier leur intérêt pour le projet de gazoduc qui pourrait attirer des investissements américains, selon le ministre nigérian des Finances et de la Coordination de l’Economie, Wale Edun.
