En janvier, l'Espagne a exporté vers le Maroc, à travers le Gazoduc Maghreb-Europe (GME), 868 gigawattheures (GWh) d'équivalent gaz naturel provenant d'installations espagnoles, ce qui représente plus de 28 % de toutes les exportations du mois.
Le Maroc est la principale destination pour la revente de gaz, en raison de la baisse des expéditions vers la France, le Portugal et l'Italie, qui sont habituellement en tête du classement des pays destinataires.
Au cours de l'année dernière, les réexportations de gaz de l'Espagne vers le Maroc ont dépassé 9.800 GWh, ce qui fait du Maroc la deuxième destination des expéditions de gaz provenant des installations espagnoles, après la France.
La capacité maximale d'exportation du gazoduc à partir de Tarifa est de 960 GWh par mois, et au cours de cette année et demie, il y a eu plusieurs mois au cours desquels plus de 90 % de ce pompage maximal a été utilisé, et même en août dernier, le maximum a été atteint avec l'expédition de 958 GWh vers le Maroc, selon les données combinées de Cores et d'Enagás, le gestionnaire du système gazier espagnol et du réseau de gazoducs.
Il convient de noter que l'Espagne ne vend pas de gaz au Maroc. Le rôle de l'Espagne se limite à recevoir dans ses usines de regazéification les navires contenant le gaz que Rabat achète à n'importe quel pays fournisseur et qu'il envoie au Maroc par le gazoduc de Tarifa (Cadix). Tout le gaz réexporté d'Espagne vers le Maroc fait l'objet d'un certificat et d'un contrôle d'origine afin de s'assurer qu'il ne contient aucune molécule provenant d'Algérie, comme l'exige le gouvernement algérien.
Il faut également savoir qu'en 2022, l’Arabie Saoudite est le premier fournisseur du Maroc en gaz industriel et combustibles avec environ 33,8 milliards de dirhams, ce qui représente une part d’environ 44% des importations totales de ces matières. L’Espagne arrive en deuxième position parmi les pays dont le Maroc dépend pour importer de l’essence et du carburant industriel. Elle est suivie par la Russie et l’Italie en quatrième position. Le gaz butane arrive en deuxième position parmi les importations les plus importantes de produits énergétiques du Royaume, avec une valeur de 26,3 milliards de dirhams, soit une hausse d’environ 81,2% sur une base annuelle.
Pour l’importation du gaz butane, le Maroc a compté sur les Etats-Unis d’Amérique pour une valeur de 18,8 milliards de dirhams, soit 71,7% de ses besoins. Le Royaume a importé également du gaz butane d’Espagne pour 12,3% et du Royaume-Uni en troisième position et de la France en quatrième position.
Le Maroc est la principale destination pour la revente de gaz, en raison de la baisse des expéditions vers la France, le Portugal et l'Italie, qui sont habituellement en tête du classement des pays destinataires.
Au cours de l'année dernière, les réexportations de gaz de l'Espagne vers le Maroc ont dépassé 9.800 GWh, ce qui fait du Maroc la deuxième destination des expéditions de gaz provenant des installations espagnoles, après la France.
La capacité maximale d'exportation du gazoduc à partir de Tarifa est de 960 GWh par mois, et au cours de cette année et demie, il y a eu plusieurs mois au cours desquels plus de 90 % de ce pompage maximal a été utilisé, et même en août dernier, le maximum a été atteint avec l'expédition de 958 GWh vers le Maroc, selon les données combinées de Cores et d'Enagás, le gestionnaire du système gazier espagnol et du réseau de gazoducs.
Il convient de noter que l'Espagne ne vend pas de gaz au Maroc. Le rôle de l'Espagne se limite à recevoir dans ses usines de regazéification les navires contenant le gaz que Rabat achète à n'importe quel pays fournisseur et qu'il envoie au Maroc par le gazoduc de Tarifa (Cadix). Tout le gaz réexporté d'Espagne vers le Maroc fait l'objet d'un certificat et d'un contrôle d'origine afin de s'assurer qu'il ne contient aucune molécule provenant d'Algérie, comme l'exige le gouvernement algérien.
Il faut également savoir qu'en 2022, l’Arabie Saoudite est le premier fournisseur du Maroc en gaz industriel et combustibles avec environ 33,8 milliards de dirhams, ce qui représente une part d’environ 44% des importations totales de ces matières. L’Espagne arrive en deuxième position parmi les pays dont le Maroc dépend pour importer de l’essence et du carburant industriel. Elle est suivie par la Russie et l’Italie en quatrième position. Le gaz butane arrive en deuxième position parmi les importations les plus importantes de produits énergétiques du Royaume, avec une valeur de 26,3 milliards de dirhams, soit une hausse d’environ 81,2% sur une base annuelle.
Pour l’importation du gaz butane, le Maroc a compté sur les Etats-Unis d’Amérique pour une valeur de 18,8 milliards de dirhams, soit 71,7% de ses besoins. Le Royaume a importé également du gaz butane d’Espagne pour 12,3% et du Royaume-Uni en troisième position et de la France en quatrième position.
