Selon Lekjaa, depuis 2015, les dépenses de la caisse de compensation ont atteint 175 milliards de dirhams. Cependant, il a souligné que seulement 20 % de cette somme a bénéficié aux pauvres pour lesquels le fonds de la caisse a été créé. En revanche, les riches, qui ne sont pas liés au système de compensation, ont bénéficié des deux tiers de ces dépenses.
Il a insisté sur la clarté de la question et des choix à faire. L'un de ces choix consiste, selon Lekjaa, à laisser la réforme de la caisse de compensation en dépensant des milliards au nom de la pauvreté sans évaluer pleinement l'impact de ces montants sur la vie des plus démunies.
Lekjaa a affirmé que le gouvernement ne compte pas annuler le système de compensation d'ici la fin de son mandat, mais veillera plutôt à plafonner les prix. Les citoyens bénéficieront ainsi d'une aide directe équivalant à plusieurs fois le coût de ces augmentations limitées sur les produits subventionnés.
Il a plaidé en faveur de l'augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée pour certains services, tout en assurant que le prix de l'électricité ne sera pas relevé.
Il a insisté sur la clarté de la question et des choix à faire. L'un de ces choix consiste, selon Lekjaa, à laisser la réforme de la caisse de compensation en dépensant des milliards au nom de la pauvreté sans évaluer pleinement l'impact de ces montants sur la vie des plus démunies.
Lekjaa a affirmé que le gouvernement ne compte pas annuler le système de compensation d'ici la fin de son mandat, mais veillera plutôt à plafonner les prix. Les citoyens bénéficieront ainsi d'une aide directe équivalant à plusieurs fois le coût de ces augmentations limitées sur les produits subventionnés.
Il a plaidé en faveur de l'augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée pour certains services, tout en assurant que le prix de l'électricité ne sera pas relevé.
