Le Président du Gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, a activement pris part au Forum économique mondial de Davos le 17 janvier. Au cours de cette journée, il s’est consacré à programme intensif de réunions bilatérales avec certaines des entreprises les plus représentatives des secteurs de la technologie, de l’énergie et de la santé.
Lors de son intervention, le président a avancé l'idée de créer un nouveau paradigme de prospérité basé sur des connaissances et des outils permettant de combiner la croissance économique avec la durabilité environnementale et le bien-être. Pour y parvenir, il est indispensable de compter sur l’aide des entreprises, qu’il a qualifiées de "essentielles à la croissance et au bien-être d’un pays". Il a ainsi a mis l’accent sur les partenariats public-privé nécessaires pour assurer la prospérité des "classes moyennes et travailleuses qui n’ont pas toujours bénéficié des transformations économiques des dernières décennies".
Pedro Sanchez a également lancé un appel pressant en faveur d'une régulation mondiale de l'intelligence artificielle, soulignant l'impératif de protéger les droits fondamentaux des citoyens contre ses possibles menaces. Il a mis en avant l'idée que son développement éthique améliorerait la vie de tous.
Dans le même sillage, le président du gouvernement a défendu l’exemple de l’Espagne comme modèle qui "a démontré qu’il est possible de renforcer l’Etat-providence tout en soutenant sa durabilité". Déclarant que la création de richesse et l’amélioration des conditions de la classe ouvrière ne sont pas incompatibles et que pour poursuivre cette voie vers une "nouvelle prospérité" est essentiel d’avoir le soutien des entreprises et du développement de nouvelles technologies.
En ce sens, l’intelligence artificielle "sera bonne, nécessaire et nous rendra la vie meilleure", a souligné le président du gouvernement, "mais cela ne doit pas nous faire ignorer ses menaces". C’est pourquoi il a appelé à une réglementation globale, à une gouvernance minimale qui protège les droits fondamentaux des citoyens et qui lutte contre "les cyberattaques, les deep Fakes et les mensonges toxiques qui menacent nos démocraties".
Des dangers, a-t-il dit, qui pressentent la société elle-même et qui se sont transformés en craintes auxquelles il faut accorder plus d’attention au détriment de "les promesses vides de sens de certains gourous de la Silicon Valley, qui sont plus intéressés à gagner des followers ou grimper dans la liste des millionnaires de Forbes que dans le vrai progrès de l’humanité". Parce que, selon le président, "ceux d’entre nous qui ont appris à ne pas croire à la main invisible du marché, nous ne pouvons pas maintenant professer une foi aveugle dans la main invisible de l’intelligence artificielle".
Dans le cadre de la réglementation nécessaire de l’IA, Pedro Sánchez a également voulu réaffirmer le rôle de premier plan que l’Espagne cherche dans la révolution industrielle actuelle. "Nous avons lancé un plan stratégique de plus de 12,5 milliards d’euros pour encourager la fabrication de semi-conducteurs". Et que les conditions de talent, d’énergie propre et de stabilité font de l’Espagne "un paradis pour les entreprises qui veulent prospérer grâce à l’innovation".
Parallèlement, il a alerté sur les conséquences des conflits en Ukraine et à Gaza, mettant en péril l'ordre international basé sur des règles. En marge de ces préoccupations mondiales, il a tenu des réunions bilatérales avec certains des leaders des plus grandes entreprises technologiques du monde.
Lors de son intervention, le président a avancé l'idée de créer un nouveau paradigme de prospérité basé sur des connaissances et des outils permettant de combiner la croissance économique avec la durabilité environnementale et le bien-être. Pour y parvenir, il est indispensable de compter sur l’aide des entreprises, qu’il a qualifiées de "essentielles à la croissance et au bien-être d’un pays". Il a ainsi a mis l’accent sur les partenariats public-privé nécessaires pour assurer la prospérité des "classes moyennes et travailleuses qui n’ont pas toujours bénéficié des transformations économiques des dernières décennies".
Pedro Sanchez a également lancé un appel pressant en faveur d'une régulation mondiale de l'intelligence artificielle, soulignant l'impératif de protéger les droits fondamentaux des citoyens contre ses possibles menaces. Il a mis en avant l'idée que son développement éthique améliorerait la vie de tous.
Dans le même sillage, le président du gouvernement a défendu l’exemple de l’Espagne comme modèle qui "a démontré qu’il est possible de renforcer l’Etat-providence tout en soutenant sa durabilité". Déclarant que la création de richesse et l’amélioration des conditions de la classe ouvrière ne sont pas incompatibles et que pour poursuivre cette voie vers une "nouvelle prospérité" est essentiel d’avoir le soutien des entreprises et du développement de nouvelles technologies.
En ce sens, l’intelligence artificielle "sera bonne, nécessaire et nous rendra la vie meilleure", a souligné le président du gouvernement, "mais cela ne doit pas nous faire ignorer ses menaces". C’est pourquoi il a appelé à une réglementation globale, à une gouvernance minimale qui protège les droits fondamentaux des citoyens et qui lutte contre "les cyberattaques, les deep Fakes et les mensonges toxiques qui menacent nos démocraties".
Des dangers, a-t-il dit, qui pressentent la société elle-même et qui se sont transformés en craintes auxquelles il faut accorder plus d’attention au détriment de "les promesses vides de sens de certains gourous de la Silicon Valley, qui sont plus intéressés à gagner des followers ou grimper dans la liste des millionnaires de Forbes que dans le vrai progrès de l’humanité". Parce que, selon le président, "ceux d’entre nous qui ont appris à ne pas croire à la main invisible du marché, nous ne pouvons pas maintenant professer une foi aveugle dans la main invisible de l’intelligence artificielle".
Dans le cadre de la réglementation nécessaire de l’IA, Pedro Sánchez a également voulu réaffirmer le rôle de premier plan que l’Espagne cherche dans la révolution industrielle actuelle. "Nous avons lancé un plan stratégique de plus de 12,5 milliards d’euros pour encourager la fabrication de semi-conducteurs". Et que les conditions de talent, d’énergie propre et de stabilité font de l’Espagne "un paradis pour les entreprises qui veulent prospérer grâce à l’innovation".
Parallèlement, il a alerté sur les conséquences des conflits en Ukraine et à Gaza, mettant en péril l'ordre international basé sur des règles. En marge de ces préoccupations mondiales, il a tenu des réunions bilatérales avec certains des leaders des plus grandes entreprises technologiques du monde.
