La société énergétique Predator Oil & Gas, basée à Jersey, a annoncé, à travers un communiqué rendu public mardi, l'attribution du contrat de construction du puits MOU-3 à Guercif, à la société marocaine Skayavers Sarl. Selon la même source, ledit contrat inclut la construction de la plateforme du puits MOU-3 et l'amélioration des routes d'accès au site.
Les travaux de construction devraient commencer au début de la semaine prochaine, permettant à Predator de poursuivre ses plans de forage avant la fin du mois de mai, indique le communiqué. Il relève que le calendrier exact du démarrage du forage dépend des délais de livraison de tous les équipements nécessaires à l'exploitation.
Au fur et à mesure que ces délais seront définis, le programme de forage pourra être modifié en conséquence. Il est signalé que les commandes d’équipements lancées par la société coïncident avec un contexte où le marché international est actuellement très compétitif et difficile en raison des déficiences de la chaîne d'approvisionnement.
« Il s'agit d'une période d'activité très chargée au Maroc pour la société au cours des deux ou trois prochains mois, dont la gestion et le calendrier doivent être soigneusement établis afin d'assurer une exécution efficace et rentable », a déclaré, à cette occasion, Paul Griffiths, président exécutif de Predator.
Rappelons qu’en 2022, la société britannique, qui opère au Maroc, a annoncé le début des opérations de forage à Guercif, expliquant que le forage d'un puits dans le cadre du permis MOU-2 devrait être finalisé au cours des prochaines semaines. À l'époque, l'entreprise avait indiqué qu'elle avait bouclé un premier financement pour développer un simple gaz naturel comprimé (GNC), une forme comprimée de gaz qui permet de transporter plus facilement de grandes quantités à moindre coût.
Le mois écoulé, la compagnie a annoncé avoir sollicité l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) pour tester le puits MOU-1, situé dans le permis pétrolier onshore de Guercif. En effet, la société cherche à tester ses réservoirs dans la zone de projet, et elle est bien engagée dans des démarches administratives en vue d'obtenir le feu vert des autorités.
Il convient de noter que ce sera la deuxième fois au cours des 51 dernières années que ce type de perforation de puits aura lieu dans cette partie du Royaume.
Les travaux de construction devraient commencer au début de la semaine prochaine, permettant à Predator de poursuivre ses plans de forage avant la fin du mois de mai, indique le communiqué. Il relève que le calendrier exact du démarrage du forage dépend des délais de livraison de tous les équipements nécessaires à l'exploitation.
Au fur et à mesure que ces délais seront définis, le programme de forage pourra être modifié en conséquence. Il est signalé que les commandes d’équipements lancées par la société coïncident avec un contexte où le marché international est actuellement très compétitif et difficile en raison des déficiences de la chaîne d'approvisionnement.
« Il s'agit d'une période d'activité très chargée au Maroc pour la société au cours des deux ou trois prochains mois, dont la gestion et le calendrier doivent être soigneusement établis afin d'assurer une exécution efficace et rentable », a déclaré, à cette occasion, Paul Griffiths, président exécutif de Predator.
Rappelons qu’en 2022, la société britannique, qui opère au Maroc, a annoncé le début des opérations de forage à Guercif, expliquant que le forage d'un puits dans le cadre du permis MOU-2 devrait être finalisé au cours des prochaines semaines. À l'époque, l'entreprise avait indiqué qu'elle avait bouclé un premier financement pour développer un simple gaz naturel comprimé (GNC), une forme comprimée de gaz qui permet de transporter plus facilement de grandes quantités à moindre coût.
Le mois écoulé, la compagnie a annoncé avoir sollicité l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) pour tester le puits MOU-1, situé dans le permis pétrolier onshore de Guercif. En effet, la société cherche à tester ses réservoirs dans la zone de projet, et elle est bien engagée dans des démarches administratives en vue d'obtenir le feu vert des autorités.
Il convient de noter que ce sera la deuxième fois au cours des 51 dernières années que ce type de perforation de puits aura lieu dans cette partie du Royaume.
