A une semaine de la reprise du championnat marocain de première division, l’IRT et le MAT ne savaient où allait se disputer le derby du nord. Jouer quand ? Jouer où ?
Deux questions qui méritent bien que les supporters du football réfléchissent sur l’avenir et l’épanouissement des clubs dans le cadre de la politique du professionnalisme.
Deux questions qui montrent clairement l’improvisation de la commission de programmation qui reste toujours impliquée dans le retardement des rencontres officielles.
Au programme, on trouve tous les dimanches des matchs reportés et le classement n’est jamais définitif. Qu’en dire et qu’en penser à l’heure où la Fédération de tutelle, la FRMF, n’a fait aucune réaction.
Dans tous les pays du monde, le programme annuel de tous les championnats division I et division II est établi à l’avance au moins un mois avant le début de la compétition.
Dans tous les championnats étrangers, le derby et le classico sont mis en évidence aussi bien à la retransmission télévisée ou à la publicité et ont une importance dans les prix des tickets d’entrée avec la déclaration de la journée du club.
Chez nous, ce genre de rencontres est quelconque dans tous les stades.
Comme le complexe sportif de Tanger était fermé pour travaux de réaménagement, les villes de Tétouan, Kénitra, Berrechid, Al-Hoceima, Mohamedia étaient proposées pour accueillir le derby.
Avec ou sans public était la polémique qui donnait beaucoup à réfléchir au comité tangérois.
Après plusieurs réunions, il a été décidé de faire disputer le choc au stade Bachir dimanche 26 novembre à 16h00 avec la présence des spectateurs dans les gradins.
Le grand derby du nord à l’exil est une honte qui est pointée du doigt.
Deux jours avant la rencontre, une surprise de taille attendait le comité de l’IRT.
Aux toutes dernières minutes, il a été décidé de fermer le stade de Mohammedia au public.
Voici comment on encourage le professionnalisme au Maroc. Comment se présentent les deux formations ?
Sur le plan technique, les tétouanais sont supérieurs avec seulement deux défaites et occupent la quatrième place avec 15 points.
Leur staff technique a réussi à trouver un groupe de footballeurs homogène qui s’impose au championnat et qui vise le haut du tableau.
Les Tangérois comptent seulement une victoire avec quatre défaites et 7 points soit 8 points de moins et luttent comme toujours pour le maintien avec un effectif recruté à tort et à travers avec un manque de cohésion.
Sur le plan juridique, les comités des deux clubs sont à la dérive avec une inquiétante irrégularité administrative.
L’IRT n’a pas tenu son assemblée générale et depuis la nomination de Cherkaoui, la gestion de l’équipe est pleine de mystères.
En pareil cas, se trouve le MAT qui est géré par un éternel comité provisoire.
Deux questions qui méritent bien que les supporters du football réfléchissent sur l’avenir et l’épanouissement des clubs dans le cadre de la politique du professionnalisme.
Deux questions qui montrent clairement l’improvisation de la commission de programmation qui reste toujours impliquée dans le retardement des rencontres officielles.
Au programme, on trouve tous les dimanches des matchs reportés et le classement n’est jamais définitif. Qu’en dire et qu’en penser à l’heure où la Fédération de tutelle, la FRMF, n’a fait aucune réaction.
Dans tous les pays du monde, le programme annuel de tous les championnats division I et division II est établi à l’avance au moins un mois avant le début de la compétition.
Dans tous les championnats étrangers, le derby et le classico sont mis en évidence aussi bien à la retransmission télévisée ou à la publicité et ont une importance dans les prix des tickets d’entrée avec la déclaration de la journée du club.
Chez nous, ce genre de rencontres est quelconque dans tous les stades.
Comme le complexe sportif de Tanger était fermé pour travaux de réaménagement, les villes de Tétouan, Kénitra, Berrechid, Al-Hoceima, Mohamedia étaient proposées pour accueillir le derby.
Avec ou sans public était la polémique qui donnait beaucoup à réfléchir au comité tangérois.
Après plusieurs réunions, il a été décidé de faire disputer le choc au stade Bachir dimanche 26 novembre à 16h00 avec la présence des spectateurs dans les gradins.
Le grand derby du nord à l’exil est une honte qui est pointée du doigt.
Deux jours avant la rencontre, une surprise de taille attendait le comité de l’IRT.
Aux toutes dernières minutes, il a été décidé de fermer le stade de Mohammedia au public.
Voici comment on encourage le professionnalisme au Maroc. Comment se présentent les deux formations ?
Sur le plan technique, les tétouanais sont supérieurs avec seulement deux défaites et occupent la quatrième place avec 15 points.
Leur staff technique a réussi à trouver un groupe de footballeurs homogène qui s’impose au championnat et qui vise le haut du tableau.
Les Tangérois comptent seulement une victoire avec quatre défaites et 7 points soit 8 points de moins et luttent comme toujours pour le maintien avec un effectif recruté à tort et à travers avec un manque de cohésion.
Sur le plan juridique, les comités des deux clubs sont à la dérive avec une inquiétante irrégularité administrative.
L’IRT n’a pas tenu son assemblée générale et depuis la nomination de Cherkaoui, la gestion de l’équipe est pleine de mystères.
En pareil cas, se trouve le MAT qui est géré par un éternel comité provisoire.
