L’expérience du Club Ittifaq Sportif Marrakech (CISM), club fondé en 2011 au quartier populaire M’hamid, reste l'une des expériences sportives distinctives et typiques à Marrakech en raison des annales de la modernité de son époque…
Cette formation très ambitieuse a évolué au sein de toutes les catégories et les sections relevant de la Ligue régionale Marrakech-Safi de football.
Sa gestion professionnelle, ses performances et ses succès lui ont ouverts les portes d’accession à la D2 professionnelle durant la saison 2022/2023 après avoir affronté plusieurs difficultés…
La saison écoulée, le CISM a échappé de justesse à une fusion avec le KACM…
Il est quasiment certain que l'expérience du CISM reflète une forte volonté de la part de ses dirigeants et en leur tête le président Saïd Chraâ et certaines personnes qui ont assumé des missions dans son bureau, y compris ceux qui sont partis et ceux qui sont toujours responsables et qui luttent corps et âme pour la survie de cette jeune formation.
Les milieux sportifs marrakechis s'interrogent avec les mains sur les cœurs : comment est-il possible que cette équipe marrakechie de souche, ne bénéficiant guère d’aucune attention ni d’intérêt de la part des responsables de la ville ocre…!?
Du coup, le CISM vit dans le sillage de pauvreté et de crises successives.
Aujourd’hui, l’équipe souffre le martyre.
Elle reste à nos jours, privée de son droit légitime de bénéficier d’un moyen de transport à l image de toutes les équipes de la D2 professionnelle, du soutien financier alloué par la FRMF aux équipes de la nationale 2, ce qui rend difficile si ce n’est impossible la création de son entreprise sportive …!
Sans parler bien entendu de l'absence d’un système publicitaire spécifique pour l’équipe.
Et enfin de l’assistance de ses supporters et leurs recettes durant ses rencontres jouées loin de se son fief et précisément au grand stade de Marrakech...!
Aussi, ce qui est étrange et laisse beaucoup à désirer, c'est que cette équipe subie de graves discriminations et marginalisations au niveau de sa ville Marrakech!
Plus encore, elle est quasiment exclu du soutien financier du Conseil Communal de Marrakech et des accords conclus avec des équipes sportives de la région.
Le football à Marrakech a besoin de toutes ses potentialités et composantes pour retrouver ses gloires d’antan.
Soutenir uniquement le KACM et marginaliser le CISM est une honte flagrante des responsables de cette ville…!
Il est si difficile pour les Bahjaouis d’ignorer l’expérience de cette jeune formation très chère au président Saïd Chraâ.
Aujourd’hui, l’équipe est menacée de la relégation chez les amateurs, c’est ce que nous ne le souhaitons pas.
Sans aucun doute, Marrakech a besoin d’unir toutes les forces quant à épauler vraiment le sport et les sportifs et partant le KACM et le CISM, les locomotives du sport régional.
La politique, deux poids deux mesures appartient désormais au passé …! A bon entendeur, salut.
Cette formation très ambitieuse a évolué au sein de toutes les catégories et les sections relevant de la Ligue régionale Marrakech-Safi de football.
Sa gestion professionnelle, ses performances et ses succès lui ont ouverts les portes d’accession à la D2 professionnelle durant la saison 2022/2023 après avoir affronté plusieurs difficultés…
La saison écoulée, le CISM a échappé de justesse à une fusion avec le KACM…
Il est quasiment certain que l'expérience du CISM reflète une forte volonté de la part de ses dirigeants et en leur tête le président Saïd Chraâ et certaines personnes qui ont assumé des missions dans son bureau, y compris ceux qui sont partis et ceux qui sont toujours responsables et qui luttent corps et âme pour la survie de cette jeune formation.
Les milieux sportifs marrakechis s'interrogent avec les mains sur les cœurs : comment est-il possible que cette équipe marrakechie de souche, ne bénéficiant guère d’aucune attention ni d’intérêt de la part des responsables de la ville ocre…!?
Du coup, le CISM vit dans le sillage de pauvreté et de crises successives.
Aujourd’hui, l’équipe souffre le martyre.
Elle reste à nos jours, privée de son droit légitime de bénéficier d’un moyen de transport à l image de toutes les équipes de la D2 professionnelle, du soutien financier alloué par la FRMF aux équipes de la nationale 2, ce qui rend difficile si ce n’est impossible la création de son entreprise sportive …!
Sans parler bien entendu de l'absence d’un système publicitaire spécifique pour l’équipe.
Et enfin de l’assistance de ses supporters et leurs recettes durant ses rencontres jouées loin de se son fief et précisément au grand stade de Marrakech...!
Aussi, ce qui est étrange et laisse beaucoup à désirer, c'est que cette équipe subie de graves discriminations et marginalisations au niveau de sa ville Marrakech!
Plus encore, elle est quasiment exclu du soutien financier du Conseil Communal de Marrakech et des accords conclus avec des équipes sportives de la région.
Le football à Marrakech a besoin de toutes ses potentialités et composantes pour retrouver ses gloires d’antan.
Soutenir uniquement le KACM et marginaliser le CISM est une honte flagrante des responsables de cette ville…!
Il est si difficile pour les Bahjaouis d’ignorer l’expérience de cette jeune formation très chère au président Saïd Chraâ.
Aujourd’hui, l’équipe est menacée de la relégation chez les amateurs, c’est ce que nous ne le souhaitons pas.
Sans aucun doute, Marrakech a besoin d’unir toutes les forces quant à épauler vraiment le sport et les sportifs et partant le KACM et le CISM, les locomotives du sport régional.
La politique, deux poids deux mesures appartient désormais au passé …! A bon entendeur, salut.
