Cette hausse reflète l'évolution positive du produit net bancaire (PNB), ainsi qu'un niveau relativement bas des dotations aux provisions pour créances en souffrance, explique le FEC dans un communiqué sur ses résultats annuels 2021.
Et de noter que le résultat net au titre de l'exercice 2020 a été marqué par la comptabilisation de la contribution du FEC de 100 MDH au profit du fonds spécial pour la gestion de la pandémie du coronavirus (Covid-19).
Le PNB s'est élevé, quant à lui, à 637 MDH à fin 2021, en progression de 2% par rapport à une année auparavant, conséquence de l'accroissement des créances sur la clientèle, conjugué à la qualité du portefeuille de prêts.
Les décaissements de prêts se sont établis à 2,878 milliards de dirhams (MMDH) et ont permis le financement de projets au profit des différentes catégories de collectivités territoriales, relève la même source, notant que ces financements ont principalement porté sur la réalisation de projets de mise à niveau des villes, de restructuration des quartiers sous-équipés et d'infrastructures routières, notamment ceux visant la réduction des disparités territoriales et sociales.
A travers ces nouveaux financements, les créances sur la clientèle ont atteint 26,186 MMDH à fin 2021, en hausse de près de 1 MMDH par rapport au niveau enregistré au cours de l'exercice 2020.
Par ailleurs, le communiqué rappelle que les deux derniers trimestres de l'année 2021 ont été particulièrement marqués aussi bien par le ralentissement conjoncturel constaté au cours des périodes électorales que par et, à moindre mesure, la persistance des effets du contexte pandémique, ce qui a eu pour conséquence, une activité de moindre intensité que celle qui prévaut habituellement dans un cycle normatif, non impacté par les effets de ce contexte particulier.
(Avec MAP)
Et de noter que le résultat net au titre de l'exercice 2020 a été marqué par la comptabilisation de la contribution du FEC de 100 MDH au profit du fonds spécial pour la gestion de la pandémie du coronavirus (Covid-19).
Le PNB s'est élevé, quant à lui, à 637 MDH à fin 2021, en progression de 2% par rapport à une année auparavant, conséquence de l'accroissement des créances sur la clientèle, conjugué à la qualité du portefeuille de prêts.
Les décaissements de prêts se sont établis à 2,878 milliards de dirhams (MMDH) et ont permis le financement de projets au profit des différentes catégories de collectivités territoriales, relève la même source, notant que ces financements ont principalement porté sur la réalisation de projets de mise à niveau des villes, de restructuration des quartiers sous-équipés et d'infrastructures routières, notamment ceux visant la réduction des disparités territoriales et sociales.
A travers ces nouveaux financements, les créances sur la clientèle ont atteint 26,186 MMDH à fin 2021, en hausse de près de 1 MMDH par rapport au niveau enregistré au cours de l'exercice 2020.
Par ailleurs, le communiqué rappelle que les deux derniers trimestres de l'année 2021 ont été particulièrement marqués aussi bien par le ralentissement conjoncturel constaté au cours des périodes électorales que par et, à moindre mesure, la persistance des effets du contexte pandémique, ce qui a eu pour conséquence, une activité de moindre intensité que celle qui prévaut habituellement dans un cycle normatif, non impacté par les effets de ce contexte particulier.
(Avec MAP)
