M. Jouahri s’est exprimé au sujet des Fintechs lors d'un point de presse, tenu avec la Mandataire spéciale du secrétaire général des Nations Unies pour la promotion de services financiers accessibles voués au développement (UNSGSA), la Reine Máxima des Pays-Bas.
L'industrie numérique des Fintechs au Maroc évolue positivement, mais accuse toujours un retard par rapport à d'autres pays africains, note-t-il. En considération de cette réalité, il a évoqué la nécessité d’un changement de culture pour développer cet écosystème qui englobe une multitude de métiers et peine toujours à décoller.
Pour rappel, il a évoqué l’exemple de la Banque centrale qui avait créé un guichet unique pour recevoir les fintechs, leur venir en aide, les conseiller et suivre leurs relations avec le système bancaire.
Il a aussi insisté sur l'importance des mesures incitatives mises en œuvre par le gouvernement pour promouvoir le secteur financier. La Banque centrale, ajoute-t-il, ne ménage aucun effort pour développer la collaboration avec d'autres institutions pour la promotion des fintechs, notamment la Caisse de dépôt et de garantie (CDG), le ministère chargé de la Transition numérique et de la Réforme administrative et l'Agence de développement digital.
A cette occasion, M. Jouahri a insisté sur l'objectif principal qui consiste à "converger les efforts des parties prenantes, chacune dans son domaine, pour faire naître un écosystème de fintechs qui puisse rattraper le retard du Maroc, et par la même occasion, faire un benchmark qui va être utile, de façon à bien déterminer les incitations pour que ce système réussisse le plus rapidement possible".
Le responsable n’a pas manqué de préciser que le mobile banking contribue efficacement à des transactions plus sécurisées, plus rapides et moins coûteuses, relevant que le cash est un circuit qui est associée à certaines pratiques. Entre autres il favorise le financement du terrorisme et le blanchiment de capitaux, d'où l'intérêt de l'option du digital.
Le Maroc, fait-il observer à cet égard, est l'un des pays les plus dépendants du cash, recommandant entre autres de verser les aides sociales aux citoyens via le canal digital.
A ce sujet, le Wali a mis en avant une expérience pilote lancée avec le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, en l’occurrence l'opération "Tayssir", accompagnée de mesures spécifiques de communication et d'éducation financière, qui a fait preuve de résultats positifs, encore qu’en-deçà des aspirations.
Précédemment à ce point de presse, durant la journée, M. Jouahri s’est entretenu avec la Mandataire spéciale du secrétaire général l’UNSGSA, la Reine Máxima des Pays-Bas, qui effectue une visite au Maroc, axée sur les innovations technologiques financières, la finance verte et inclusive, et le développement de systèmes de paiement numériques favorisant l'inclusion financière.
L'industrie numérique des Fintechs au Maroc évolue positivement, mais accuse toujours un retard par rapport à d'autres pays africains, note-t-il. En considération de cette réalité, il a évoqué la nécessité d’un changement de culture pour développer cet écosystème qui englobe une multitude de métiers et peine toujours à décoller.
Pour rappel, il a évoqué l’exemple de la Banque centrale qui avait créé un guichet unique pour recevoir les fintechs, leur venir en aide, les conseiller et suivre leurs relations avec le système bancaire.
Il a aussi insisté sur l'importance des mesures incitatives mises en œuvre par le gouvernement pour promouvoir le secteur financier. La Banque centrale, ajoute-t-il, ne ménage aucun effort pour développer la collaboration avec d'autres institutions pour la promotion des fintechs, notamment la Caisse de dépôt et de garantie (CDG), le ministère chargé de la Transition numérique et de la Réforme administrative et l'Agence de développement digital.
A cette occasion, M. Jouahri a insisté sur l'objectif principal qui consiste à "converger les efforts des parties prenantes, chacune dans son domaine, pour faire naître un écosystème de fintechs qui puisse rattraper le retard du Maroc, et par la même occasion, faire un benchmark qui va être utile, de façon à bien déterminer les incitations pour que ce système réussisse le plus rapidement possible".
Le responsable n’a pas manqué de préciser que le mobile banking contribue efficacement à des transactions plus sécurisées, plus rapides et moins coûteuses, relevant que le cash est un circuit qui est associée à certaines pratiques. Entre autres il favorise le financement du terrorisme et le blanchiment de capitaux, d'où l'intérêt de l'option du digital.
Le Maroc, fait-il observer à cet égard, est l'un des pays les plus dépendants du cash, recommandant entre autres de verser les aides sociales aux citoyens via le canal digital.
A ce sujet, le Wali a mis en avant une expérience pilote lancée avec le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, en l’occurrence l'opération "Tayssir", accompagnée de mesures spécifiques de communication et d'éducation financière, qui a fait preuve de résultats positifs, encore qu’en-deçà des aspirations.
Précédemment à ce point de presse, durant la journée, M. Jouahri s’est entretenu avec la Mandataire spéciale du secrétaire général l’UNSGSA, la Reine Máxima des Pays-Bas, qui effectue une visite au Maroc, axée sur les innovations technologiques financières, la finance verte et inclusive, et le développement de systèmes de paiement numériques favorisant l'inclusion financière.
