Pour financer sa transition écologique et atteindre ses objectifs climatiques, le Royaume s’apprête à faire son entrée sur le marché carbone. Cela lui permettra de vendre des “crédits carbone” à des pays pollueurs, et ainsi financer ses projets d’énergie verte.
Selon nos informations, ce chantier de longue haleine est dans sa phase finale de conception. Une consultation à destination du secteur privé sera bientôt lancée pour expliquer le fonctionnement du marché carbone et ses critères d’éligibilité. Ce mécanisme a été mis en place par l’Accord de Paris sur le climat de 2015, dont le Maroc est signataire.
Le pays a sélectionné deux cadres prioritaires, dans lesquels la compensation carbone viendra se greffer : la loi 40-19 sur les énergies renouvelables et la loi 82-21 sur l’autoproduction. Détails.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Mardi 9 Juillet 2024, disponible en kiosque.
Selon nos informations, ce chantier de longue haleine est dans sa phase finale de conception. Une consultation à destination du secteur privé sera bientôt lancée pour expliquer le fonctionnement du marché carbone et ses critères d’éligibilité. Ce mécanisme a été mis en place par l’Accord de Paris sur le climat de 2015, dont le Maroc est signataire.
Le pays a sélectionné deux cadres prioritaires, dans lesquels la compensation carbone viendra se greffer : la loi 40-19 sur les énergies renouvelables et la loi 82-21 sur l’autoproduction. Détails.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Mardi 9 Juillet 2024, disponible en kiosque.