Huit feux en une seule journée, près de 20 hectares touchés : la semaine dernière a rappelé que la menace reste bien réelle. Depuis janvier, 111 départs de feu ont été recensés, pour 130 hectares brûlés, un bilan en recul par rapport à la moyenne des dix dernières années. Cette baisse s’explique par des pluies tardives, qui ont freiné l’assèchement du couvert végétal dans certaines zones, mais aussi par un déploiement plus efficient des moyens de lutte.
Les récentes interventions coordonnées ont permis d’éviter toute propagation majeure. Pour autant, l’allongement de la période sèche, combiné à des pics de chaleur de plus en plus précoces, rend les conditions plus instables. Le dispositif est en place, mais l’été ne fait que commencer.
Les récentes interventions coordonnées ont permis d’éviter toute propagation majeure. Pour autant, l’allongement de la période sèche, combiné à des pics de chaleur de plus en plus précoces, rend les conditions plus instables. Le dispositif est en place, mais l’été ne fait que commencer.
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