Le Maroc est à l’honneur de la 38ème édition du Festival international de cinéma Vues d’Afrique (FVA) qui se poursuit jusqu’au 10 avril à Montréal.
A l’occasion de la célébration du 60ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Royaume et le Canada, le festival a placé sa soirée d’ouverture, vendredi dernier, sous les couleurs du Maroc, avec le dernier long métrage de Nabil Ayouch «Haut et fort», le tout dans une ambiance et une décoration typiquement marocaines alliant artisanat, prestations musicales gnaoua et saveurs de la gastronomie nationale.
Neuf longs et courts métrages et films d’animation marocains figurent par au programme de cette édition du FVA, après trois éditions en virtuel à cause de la crise sanitaire. L’ouverture du festival s’est tenue en présence notamment de son président, Gerald Lechesnes, de l’ambassadrice du Maroc de SM au Canada, Souriya Otmani et du consul général du Royaume à Montréal, Mhamed Ifriquine.
Un grand nombre de convives ont également été présents, dont la marraine et le parrain du festival, respectivement la comédienne Aissa Maiga, et le réalisateur Richard Jean Baptiste. Spécificités africaine et créole Dans une allocution virtuelle à cette occasion, la ministre de la Culture du gouvernement du Québec, Nathalie Roy, a mis en avant la contribution de cette manifestation artistique à l’enrichissement de la vie culturelle montréalaise en raison de sa spécificité africaine et créole.
De son côté, l’ambassadrice du Maroc a souligné que «cet évènement dédié aux cinéphiles, francophones et francophiles, amis du cinéma africain et des Caraïbes, constitue désormais une manifestation majeure et incontournable sur la scène culturelle montréalaise.» La diplomate a félicité les organisateurs pour la richesse et la diversité de la programmation qui permet, a-t-elle dit, «de voyager à travers les pays, les continents, les sociétés et de pouvoir découvrir et réfléchir sur la réalité, les faits de société et les cultures du monde.
Le cinéma, tout comme la musique et les arts d’une manière générale, a ce don magique de nous faire évader, de nous rassembler, de favoriser une meilleure compréhension et aussi le rapprochement entre les communautés et les peuples du monde.»
A l’occasion de la célébration du 60ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Royaume et le Canada, le festival a placé sa soirée d’ouverture, vendredi dernier, sous les couleurs du Maroc, avec le dernier long métrage de Nabil Ayouch «Haut et fort», le tout dans une ambiance et une décoration typiquement marocaines alliant artisanat, prestations musicales gnaoua et saveurs de la gastronomie nationale.
Neuf longs et courts métrages et films d’animation marocains figurent par au programme de cette édition du FVA, après trois éditions en virtuel à cause de la crise sanitaire. L’ouverture du festival s’est tenue en présence notamment de son président, Gerald Lechesnes, de l’ambassadrice du Maroc de SM au Canada, Souriya Otmani et du consul général du Royaume à Montréal, Mhamed Ifriquine.
Un grand nombre de convives ont également été présents, dont la marraine et le parrain du festival, respectivement la comédienne Aissa Maiga, et le réalisateur Richard Jean Baptiste. Spécificités africaine et créole Dans une allocution virtuelle à cette occasion, la ministre de la Culture du gouvernement du Québec, Nathalie Roy, a mis en avant la contribution de cette manifestation artistique à l’enrichissement de la vie culturelle montréalaise en raison de sa spécificité africaine et créole.
De son côté, l’ambassadrice du Maroc a souligné que «cet évènement dédié aux cinéphiles, francophones et francophiles, amis du cinéma africain et des Caraïbes, constitue désormais une manifestation majeure et incontournable sur la scène culturelle montréalaise.» La diplomate a félicité les organisateurs pour la richesse et la diversité de la programmation qui permet, a-t-elle dit, «de voyager à travers les pays, les continents, les sociétés et de pouvoir découvrir et réfléchir sur la réalité, les faits de société et les cultures du monde.
Le cinéma, tout comme la musique et les arts d’une manière générale, a ce don magique de nous faire évader, de nous rassembler, de favoriser une meilleure compréhension et aussi le rapprochement entre les communautés et les peuples du monde.»