Les travaux de la Journée d’étude se sont clôturés, jeudi, en présence de personnalités issues de divers horizons avec la participation de professeurs et d’entrepreneurs sans oublier les professionnels de la communication. Organisée par la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Tétouan, cette rencontre, placée sous le thème : « La Communication à l'ère du digital : Enjeux et perspectives », avait pour objectif d'échanger avec des académiciens et des professionnels de la communication et de l'information.
Ce colloque visait aussi le partage des expériences et les meilleures pratiques relatives au monde digital afin de tirer profit des avantages et de l’énorme potentiel qu'offre le ce secteur dans le but d'éviter les impacts négatifs que son usage peut avoir sur les droits et les libertés des individus à l’heure de l’Intelligence artificielle.
Les sujets abordés témoignent de l’intérêt qu’accordent les participants à cette question. On peut évoquer, à ce sujet « la communication digitale pour les projets des villes intelligentes : entre l'aspect opérationnel du déploiement technologique et l'aspect stratégique axé sur l'humain ». Toujours est-il que les débats ont montré le pas de géant accompli par le Maroc en matière de digitalisation.
C’est à juste titre, d’ailleurs, que les travaux de cette journée ont été repartie en deux conférences avec douze communications et un atelier dédié à la promotion de la recherche scientifique en Sciences Humaines et Sociales. Il faut aussi relever que le colloque s’est tenu en présence d'enseignants-chercheurs marocains et étrangers dont les réflexions et les discussions ont suscité un échange très enrichissant.
Pour les conférenciers, ces différentes réflexions feront l’objet de l'organisation d'autres rencontres scientifiques où des questions épineuses, telles la question de l'éthique de l'IA et celle des limites de la relation entre les possibilités qu'offrent la digitalisation et l'IA ainsi que le respect des droits de l'Homme, seront amplement abordées.
À l'issue de la journée d'étude, plusieurs recommandations ont été faites afin de se servir des nouvelles technologies de l'information et de la communication de manière à en faire un véritable levier de développement humain et socio-économique et non un outil générateur d'inégalités et de clivages sociaux.
Dans ce sens, il a été recommandé de faire des recherches approfondies sur les risques et les défis liés à une utilisation malveillante du digital. Les participants ont aussi insisté sur la nécessité d'adoption d'un cadre normatif mondial capable de réglementer l'éthique de l'IA de façon à ce qu'elle puisse profiter à l'humanité toute entière sur le même pied d'égalité. Les publications scientifiques ne sont pas en reste.
Enfin, rappelons que la Journée a été présidée par le Pr Jaouad Boumaajoune, chef du département de communication et coordonnateur du Master « Stratégies de la communication digitale » à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Tétouan.
Ce colloque visait aussi le partage des expériences et les meilleures pratiques relatives au monde digital afin de tirer profit des avantages et de l’énorme potentiel qu'offre le ce secteur dans le but d'éviter les impacts négatifs que son usage peut avoir sur les droits et les libertés des individus à l’heure de l’Intelligence artificielle.
Les sujets abordés témoignent de l’intérêt qu’accordent les participants à cette question. On peut évoquer, à ce sujet « la communication digitale pour les projets des villes intelligentes : entre l'aspect opérationnel du déploiement technologique et l'aspect stratégique axé sur l'humain ». Toujours est-il que les débats ont montré le pas de géant accompli par le Maroc en matière de digitalisation.
C’est à juste titre, d’ailleurs, que les travaux de cette journée ont été repartie en deux conférences avec douze communications et un atelier dédié à la promotion de la recherche scientifique en Sciences Humaines et Sociales. Il faut aussi relever que le colloque s’est tenu en présence d'enseignants-chercheurs marocains et étrangers dont les réflexions et les discussions ont suscité un échange très enrichissant.
Pour les conférenciers, ces différentes réflexions feront l’objet de l'organisation d'autres rencontres scientifiques où des questions épineuses, telles la question de l'éthique de l'IA et celle des limites de la relation entre les possibilités qu'offrent la digitalisation et l'IA ainsi que le respect des droits de l'Homme, seront amplement abordées.
À l'issue de la journée d'étude, plusieurs recommandations ont été faites afin de se servir des nouvelles technologies de l'information et de la communication de manière à en faire un véritable levier de développement humain et socio-économique et non un outil générateur d'inégalités et de clivages sociaux.
Dans ce sens, il a été recommandé de faire des recherches approfondies sur les risques et les défis liés à une utilisation malveillante du digital. Les participants ont aussi insisté sur la nécessité d'adoption d'un cadre normatif mondial capable de réglementer l'éthique de l'IA de façon à ce qu'elle puisse profiter à l'humanité toute entière sur le même pied d'égalité. Les publications scientifiques ne sont pas en reste.
Enfin, rappelons que la Journée a été présidée par le Pr Jaouad Boumaajoune, chef du département de communication et coordonnateur du Master « Stratégies de la communication digitale » à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Tétouan.
