L’exposition collective «Grain de sable» se poursuit jusqu’au 30 juin aux Villas des arts de Casablanca et de Rabat. Elle célèbre plusieurs expressions artistiques dont la peinture, la sculpture, la photographie et l’installation.
A travers les 14 artistes originaires du sud et choisis autour de Mohamed Arejdal, l’une des signatures de l’art contemporain marocain, l’exposition met en exergue le lien intergénérationnel entre ces créateurs qui, malgré l’absence d’une école d’art dans leur, ont su marquer de leur empreinte la scène artistique.
Ces artistes et principalement la jeune génération se distinguent par leur approche contemporaine et avant-gardiste. El Imam Djimi, professeur d’éducation plastique et artiste plasticien, dit qu’à travers sa participation à cet évènement collectif, il veut faire découvrir au public ses oeuvres inspirées de l’art rupestre.
De son côté, Hassan Abarou, un artiste qui enseigne les arts plastiques depuis 2003 et qui a participé à plusieurs expositions nationales et internationales, puise son inspiration dans tous les éléments de la nature, travaillant avec des matières comme la boue, la chaux, le charbon ou encore le bois, pour mettre en avant la relation entre la terre et l’être humain.
Hassan Abarou, lui, veille à mettre en exergue dans ses oeuvres les atouts naturels du Maroc et de la région du sud entre montagne, océan et désert. Karim Barka, jeune artiste qui vit et travaille à Mirleft, s’inspire essentiellement de la mer et de la culture propre à la communauté locale des pêcheurs.
Avec une impression visuelle progressive et poétique, il propose une immersion dans les petits villages de la côté sud du Maroc où il a grandi et développé sa personnalité artistique. Représentant sa défunte soeur, l’artiste et professeur universitaire Farida Bouâchraoui, Fatima Bouâchraoui a indiqué pour sa part que l’exposition «Grain de sable» constitue un hommage posthume à cette passionnée d’art et de photographie décédée le 12 décembre 2021.
A travers les 14 artistes originaires du sud et choisis autour de Mohamed Arejdal, l’une des signatures de l’art contemporain marocain, l’exposition met en exergue le lien intergénérationnel entre ces créateurs qui, malgré l’absence d’une école d’art dans leur, ont su marquer de leur empreinte la scène artistique.
Ces artistes et principalement la jeune génération se distinguent par leur approche contemporaine et avant-gardiste. El Imam Djimi, professeur d’éducation plastique et artiste plasticien, dit qu’à travers sa participation à cet évènement collectif, il veut faire découvrir au public ses oeuvres inspirées de l’art rupestre.
De son côté, Hassan Abarou, un artiste qui enseigne les arts plastiques depuis 2003 et qui a participé à plusieurs expositions nationales et internationales, puise son inspiration dans tous les éléments de la nature, travaillant avec des matières comme la boue, la chaux, le charbon ou encore le bois, pour mettre en avant la relation entre la terre et l’être humain.
Hassan Abarou, lui, veille à mettre en exergue dans ses oeuvres les atouts naturels du Maroc et de la région du sud entre montagne, océan et désert. Karim Barka, jeune artiste qui vit et travaille à Mirleft, s’inspire essentiellement de la mer et de la culture propre à la communauté locale des pêcheurs.
Avec une impression visuelle progressive et poétique, il propose une immersion dans les petits villages de la côté sud du Maroc où il a grandi et développé sa personnalité artistique. Représentant sa défunte soeur, l’artiste et professeur universitaire Farida Bouâchraoui, Fatima Bouâchraoui a indiqué pour sa part que l’exposition «Grain de sable» constitue un hommage posthume à cette passionnée d’art et de photographie décédée le 12 décembre 2021.
Avec MAP