Le président américain Joe Biden a étendu, mercredi, les mesures de protection contre l'expulsion à "la plupart" des Palestiniens se trouvant déjà aux États-Unis et ce, en raison de la catastrophe humanitaire qui frappe la Bande de Gaza assiégée.
"À la suite de l'horrible attaque terroriste du 7 octobre, menée par le Hamas contre Israël et de la réponse militaire israélienne qui s'en est suivie, les conditions humanitaires à Gaza se sont considérablement détériorées", a déclaré Jake Sullivan, conseiller de Joe Biden en matière de sécurité nationale, dans un communiqué.
Au vu de la situation, Biden a promulgué un décret "ordonnant le report de l'expulsion de certains Palestiniens présents aux États-Unis, leur offrant ainsi un refuge temporaire", a indiqué Jake Sullivan.
Ces mesures de protection resteront en vigueur pendant 18 mois. Les personnes qui ont été condamnées pour crime "ou qui sont considérées comme représentant une menace pour la sécurité publique ne sont pas éligibles pour un report de leur départ forcé", a déclaré Sullivan, ajoutant que toute personne qui retournerait en Palestine perdrait également le bénéfice de ces protections.
La guerre israélienne a poussé 85% de la population de l'enclave à se déplacer à l'intérieur du territoire, dans un contexte de pénurie de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60% des infrastructures de l'enclave ont été endommagées voire détruites, selon l'ONU.
"À la suite de l'horrible attaque terroriste du 7 octobre, menée par le Hamas contre Israël et de la réponse militaire israélienne qui s'en est suivie, les conditions humanitaires à Gaza se sont considérablement détériorées", a déclaré Jake Sullivan, conseiller de Joe Biden en matière de sécurité nationale, dans un communiqué.
Au vu de la situation, Biden a promulgué un décret "ordonnant le report de l'expulsion de certains Palestiniens présents aux États-Unis, leur offrant ainsi un refuge temporaire", a indiqué Jake Sullivan.
Ces mesures de protection resteront en vigueur pendant 18 mois. Les personnes qui ont été condamnées pour crime "ou qui sont considérées comme représentant une menace pour la sécurité publique ne sont pas éligibles pour un report de leur départ forcé", a déclaré Sullivan, ajoutant que toute personne qui retournerait en Palestine perdrait également le bénéfice de ces protections.
La guerre israélienne a poussé 85% de la population de l'enclave à se déplacer à l'intérieur du territoire, dans un contexte de pénurie de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60% des infrastructures de l'enclave ont été endommagées voire détruites, selon l'ONU.
