"Cela doit être quelque chose d'habituel, de normal" que le Premier ministre espagnol visite Sebta, a déclaré M. Sánchez lors de l'inauguration du centre de santé de Tarajal, raison officielle de sa visite dans cette ville.
Il a rappelé que c'était la troisième fois qu'il venait à Sebta en tant que chef du gouvernement, sa dernière visite remontant à il y a un an.
"Pendant ces plus de 40 années de démocratie, le chef de l'exécutif ne s'est jamais rendu aussi souvent dans cette partie très appréciée de l'Espagne", s'est-il félicité, rappelant "l'engagement" du gouvernement avec "cette ville très importante".
Lors du sommet du 2 février à Rabat, le Maroc et l'Espagne s'étaient engagées à éviter "tout ce qui offense l'autre partie en ce qui concerne nos sphères respectives de souveraineté", selon les mots prononcés ce jour-là par M. Sánchez.
Les visites de dirigeants espagnols à Sebta et Mellilia ont souvent été perçues dans le passé comme une offense par Rabat, qui avait été jusqu'à rappeler son ambassadeur à Madrid en 2007 après un voyage du roi d'Espagne dans les deux villes.
Mais le climat entre les deux pays s'est grandement amélioré depuis que Pedro Sánchez, un socialiste, a mis fin en mars 2022 à un an de brouille diplomatique avec le Maroc en acceptant de se rallier à la position du Maroc sur son Sahara.
Il a rappelé que c'était la troisième fois qu'il venait à Sebta en tant que chef du gouvernement, sa dernière visite remontant à il y a un an.
"Pendant ces plus de 40 années de démocratie, le chef de l'exécutif ne s'est jamais rendu aussi souvent dans cette partie très appréciée de l'Espagne", s'est-il félicité, rappelant "l'engagement" du gouvernement avec "cette ville très importante".
Lors du sommet du 2 février à Rabat, le Maroc et l'Espagne s'étaient engagées à éviter "tout ce qui offense l'autre partie en ce qui concerne nos sphères respectives de souveraineté", selon les mots prononcés ce jour-là par M. Sánchez.
Les visites de dirigeants espagnols à Sebta et Mellilia ont souvent été perçues dans le passé comme une offense par Rabat, qui avait été jusqu'à rappeler son ambassadeur à Madrid en 2007 après un voyage du roi d'Espagne dans les deux villes.
Mais le climat entre les deux pays s'est grandement amélioré depuis que Pedro Sánchez, un socialiste, a mis fin en mars 2022 à un an de brouille diplomatique avec le Maroc en acceptant de se rallier à la position du Maroc sur son Sahara.