Dans l'élan effervescent de la transition énergétique, une opportunité dorée se profile à l'horizon pour le Maroc. Il s’agit du Fonds allemand Power-to-X (PtX) Development Fund, armé d'une enveloppe de 270 millions d'euros, et qui invite les développeurs marocains à embrasser l'avenir de l'hydrogène vert.
Ce Fonds, issu d'une collaboration entre le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, KfW, et KGAL Investment Management, s'engage à catalyser les projets novateurs liés à l'hydrogène vert et ses dérivés dans sept pays, dont le Maroc.
L'annonce, faite récemment, a déclenché un enthousiasme parmi les pionniers de l'énergie verte au Maroc. Les projets sélectionnés auront accès à des subventions non remboursables, offrant un coup de pouce vital à leur viabilité économique et à leur capacité à attirer des financements supplémentaires.
Dans ce sens, Thomas Engelmann, à la tête de PtX, souligne que les subventions peuvent atteindre jusqu'à 30 millions d'euros par projet, à condition de satisfaire aux normes rigoureuses en matière technique, environnementale et sociale. Ces projets industriels, d'une valeur dépassant les 100 millions d'euros, sont cruciaux pour des secteurs dépendants de l'hydrogène, tels que la production d'ammoniac, de méthanol, de carburants synthétiques et autres produits chimiques, tous alimentés par l'électrolyse de l'eau à partir d'électricité renouvelable.
Mieux, le soutien financier ne s'arrête pas là. Il englobe aussi toute la chaîne de valeur de PtX, du processus de production d'énergie renouvelable à la distribution, en passant par l'électrolyse, la compression, le stockage et le transport de l'hydrogène. En outre, cette injection de fonds ne s’arrête pas à une poignée de projets. Au contraire, elle sera répartie entre huit à dix initiatives sur plusieurs appels à soumissions, couvrant la période de 2024 à 2027.
Pour le Maroc, terre fertile de l'énergie renouvelable, cette initiative arrive à point nommé. Janne Rajpar, de la KfW à Rabat, affirme que le pays dispose de projets suffisamment matures pour bénéficier de ces subventions, tandis que son collègue Florian Ziegler ajoute que l'objectif est non seulement de promouvoir l'industrie de l'hydrogène vert, mais aussi de favoriser le transfert de compétences et la création d'emplois.
Alors que l'Europe est une destination naturelle pour ces produits verts, l'exportation n'est pas une condition sine qua non pour obtenir un financement. L'accent est mis sur le développement d'une infrastructure solide et durable pour l'hydrogène vert au Maroc, ouvrant ainsi la voie à une ère nouvelle et prometteuse dans le paysage énergétique mondial.
Ce Fonds, issu d'une collaboration entre le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, KfW, et KGAL Investment Management, s'engage à catalyser les projets novateurs liés à l'hydrogène vert et ses dérivés dans sept pays, dont le Maroc.
L'annonce, faite récemment, a déclenché un enthousiasme parmi les pionniers de l'énergie verte au Maroc. Les projets sélectionnés auront accès à des subventions non remboursables, offrant un coup de pouce vital à leur viabilité économique et à leur capacité à attirer des financements supplémentaires.
Dans ce sens, Thomas Engelmann, à la tête de PtX, souligne que les subventions peuvent atteindre jusqu'à 30 millions d'euros par projet, à condition de satisfaire aux normes rigoureuses en matière technique, environnementale et sociale. Ces projets industriels, d'une valeur dépassant les 100 millions d'euros, sont cruciaux pour des secteurs dépendants de l'hydrogène, tels que la production d'ammoniac, de méthanol, de carburants synthétiques et autres produits chimiques, tous alimentés par l'électrolyse de l'eau à partir d'électricité renouvelable.
Mieux, le soutien financier ne s'arrête pas là. Il englobe aussi toute la chaîne de valeur de PtX, du processus de production d'énergie renouvelable à la distribution, en passant par l'électrolyse, la compression, le stockage et le transport de l'hydrogène. En outre, cette injection de fonds ne s’arrête pas à une poignée de projets. Au contraire, elle sera répartie entre huit à dix initiatives sur plusieurs appels à soumissions, couvrant la période de 2024 à 2027.
Pour le Maroc, terre fertile de l'énergie renouvelable, cette initiative arrive à point nommé. Janne Rajpar, de la KfW à Rabat, affirme que le pays dispose de projets suffisamment matures pour bénéficier de ces subventions, tandis que son collègue Florian Ziegler ajoute que l'objectif est non seulement de promouvoir l'industrie de l'hydrogène vert, mais aussi de favoriser le transfert de compétences et la création d'emplois.
Alors que l'Europe est une destination naturelle pour ces produits verts, l'exportation n'est pas une condition sine qua non pour obtenir un financement. L'accent est mis sur le développement d'une infrastructure solide et durable pour l'hydrogène vert au Maroc, ouvrant ainsi la voie à une ère nouvelle et prometteuse dans le paysage énergétique mondial.
